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« Il ne nous reste plus q'une solution, continuer à y croire. » C’est avec une bonne dose d’humour suisse que Stéphane Grichting a commenté hier soir la défaite concédée par Auxerre à Nice, la onzième déjà cette saison, qui intervient en plein coeur d’une série horrible. Depuis qu’ils ont battu Sochaux mi-novembre, les hommes de Jean Fernandez ont accumulé les contre-performances. En sept rencontres ils n’ont pris qu’un petit point. Ils ont glissé de la 10e place jusqu’à la limite de la zone rouge. Hier ils ont été rejoints par Saint-Étienne et si Sochaux s’impose cet après-midi au Parc, ils seront sur lamêmeligne que le premier relégable.
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- Écrit par : L'Equipe
NICE peut continuer à y croire. Sa volonté de retrouver le Stade de France, trois ans après la finale de Coupe de la Ligue perdue face à Nancy (1-2), est toujours en passe de se réaliser. Les Aiglons ont franchi un obstacle supplémentaire en se débarrassant hier du Havre et en se qualifiant pour les demi-finales de l’épreuve, programmées début février. Présenté comme ça, il n’y a rien de surprenant. Les Azuréens forment l’une des bonnes équipes de L 1 et ils recevaient la lanterne rouge du Championnat. La logique a donc été parfaitement respectée.
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Le traumatisme n’existe plus mais il a été long à se dissiper. Battus (1-2) par Nancy en finale de la Coupe de la Ligue 2006, les Niçois ont eu beaucoup de mal à s’en remettre. Frédéric Antonetti, Cyril Rool et Olivier Echouafni, les seuls à être toujours au club, s’en souviennent encore. « D’habitude, raconte l’entraîneur, une défaite me prend la tête vingt-quatre heures. En général, le lendemain ça repart. Là, il m’a fallu près de deux semaines pour m’en remettre. Ça reste un de mes pires souvenirs d’entraîneur. » Echouafni a vécu la défaite de la même façon. « À trente trois ans, c’était ma première finale. Ce fut une frustration totale. »
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- Écrit par : L'equipe
EN 2008, Nice a accentué sa crédibilité en L 1. Car, en attendant de pouvoir monter davantage en considération sur fond de conditions d’entraînement plus douillettes (à priori en 2010-2011) et d’un grand stade en germe depuis un demi-siècle (probablement en 2013), cette année écoulée a tout de même été bien remplie pour un club qui a dégagé au 30 juin 2008 un résultat net positif de près de 5M€ en ayant empoché près de 23,7 M€ de droits télé la saison passée.
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- Écrit par : ogcnice.info
Frédéric Antonetti n’en finit plus de se plaindre du calendrier des matches du mois de janvier. A juste titre, d’ailleurs.
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- Écrit par : L'Equipe
Frédéric Antonetti, l’entraîneur de Nice, ne cache pas tout le bien qu’il pense d’un calendrier « aberrant et illogique » remettant au boulot les footballeurs entre les deux réveillons, ni sa hiérarchisation des compétitions.
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- Écrit par : ogcnice
Il est le meilleur aiglon depuis le début de saison pour vous ( + 1/3 des votants), mais pas uniquement pour vous. Il suffit de se souvenir de ce que disait Frédéric Antonetti il y a quelques semaines : " Il a le niveau Ligue des champions. Je serais à Lyon, je l’aurais recruté l’été dernier. Il aurait dû être champion du monde 98 et champion d’Europe 2000." A cela, le défenseur niçois répond : " Je suis peut-être passé à côté de quelque chose de grand. Mais il y avait du monde devant, comme Lizarazu. Et puis, ma réputation m’a desservi. Quand j’ai quelque chose à dire, je le dis. Si on veut un mouton, il ne faut pas me prendre. Cela dit, je suis très content de ma carrière."
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- Écrit par : ogcnice.info
Les niçois pointent à la seconde place après leur victoire face à St Etienne et un nouveau but important d’Echouafni (après celui de Lorient). Des aiglons qui n’avaient pas été à pareille fête depuis leur remontée en L1 et Gernot Rohr.
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- Écrit par : Sport24.com
Malgré un petit passage à vide en fin d’année, Nice n’a pas à rougir de sa première moitié de saison. Loin de là. En embuscade derrière les pointures du championnat, les Aiglons peuvent plus que jamais rêver d’Europe.
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- Écrit par : L'Equipe
Après une première moitié de saison convaincante qui l’a vu s’installer un moment à la deuxième place du classement en dauphin de Lyon, Nice ne voulait surtout pas terminer l’année sur une mauvaise note. Le Gym tenait à réagir après trois matches contre l’OM, Grenoble et Lille où il n’avait pris qu’un point sur neuf. C’est peut-être ce qui a permis aux Aiglons de trouver les ressources pour égaliser au boutdu temps additionnel grâce à un superbe coup de tête de Vincent Hognon. « C’est un point acquis avec les tripes », explique Habib Bamogo. « Sur ce coup-là, on a démontré qu’on avait de grosses ressources mentales », ajoute Olivier Echouafni.