Le match aura lieu le 01/02/12 à 20h45 au Vélodrome et en direct sur France 3. Ca part en vrille (voitures caillassées, blessés...) 

 

 

 

 

Les news

 

Le bus du CDS a été attaqué à coup de battes de baseball et de barres de fer tout comme Alex, le webmaster du site officiel. Il aurait besoin de points de suture. Les voitures 06 ont été caillassées à la sortie de l'autoroute.

 

De légères échauffourées ont éclaté aux abords du stade Vélodrome. Sur le Boulevard Michelet, des bris de glace sont à regretter. Merci l'OM!

 

Fernandez, blessé aux adducteurs, laisse sa place à Ospina.

 

En raison des conditions climatiques sur le sud-est de la France, la formation niçoise, qui devait rejoindre Marseille en bus mardi après-midi, a différé son départ et changé de mode de transport.Les Aiglons rejoindront Marseille mercredi matin en avion.

 

Hellebuyck , saison terminée? Possible selon Jean Pierre Rivère

 

Les groupes

 

Marseille : Mandanda, Bracigliano - Azpilicueta, Fanni, N'Koulou, Morel, Traore, Sabo - Diarra, Cheyrou, Amalfitano, Valbuena, Azouni, Kaboré - Remy, Brandao, Gadi, Jobello.

 

Nice : Fernandez, Ospina - Civelli, Clerc, Fofana, Gomis, Malaga, M'Bow, Monzon - Abriel, Anin, Meriem, Sablé -  Dja Djedje, Gonçalves, Grandin, Guie Guie, Mounier.

 

 

Les déclaration d'avant-match

 

René Marsiglia :

"Pour moi, cette rencontre arrive à point nommé. On se déplace pour créer l'exploit, se refaire une santé et pour emmener au Stade de France nos supporteurs. Nous sommes concentrés sur l'OM, il sera temps jeudi matin de penser à Ajaccio... L'OM est dans une dynamique impressionnante. Il n'a plus perdu depuis onze matches et reste sur sept victoires de rang toutes compétitions confondues. Mais nous allons jouer le coup à fond, sans calcul. Sur un match, tout est toujours possible."

 

Loîc Rémy : 

"J'ai joué 2 ans là-bas et c'est toujours un bonheur pour moi de rejouer contre mes anciens coéquipiers. On a la chance de jouer à domicile et on aura vraiment à coeur de bien négocier ce match car on sait qu'à la clé, il y aura une finale. Mais ça va aussi être compliqué, il ne faut pas dénigrer cette équipe niçoise qui a beaucoup de qualités. Si on fait les choses bien et que l'on reste professionnels, on a toutefois de grandes chances de pouvoir se qualifier."

 

Guy Stephan :

"On en est à dix victoires consécutives en Coupe de la Ligue. Nice est en difficulté en championnat avec beaucoup d’absents mais c’est le cas pour nous aussi. Il faudra être très vigilant sur coup de pied arrêté car ils marquent beaucoup de buts ainsi. Le match arrive vite et il y a une place au Stade de France en jeu. Ce sera très important quatre jours avant OM-Lyon." 

 

Revue de presse

 

 

Les aiglons rêvent d'un exploit par Direct Azur

 

A Marseille, le défi sera compliqué pour les Niçois demain (20h45 sur France 3). «Mais tout peut se passer sur une demi-finale de Coupe de la Ligue», comme le dit Olivier Echouafni. Les supporters rêvent d’un retour au Stade de France six ans après la demi-finale gagnée à Monaco, ou quatre ans et demi après la dernière victoire du Gym au Vélodrome. «Chouf» s’en souvient. Mais chacun redoute en même temps de revivre la désillusion de Vannes en 2009. Lionel Letizi n’a pas oublié non plus. Alors, rêve ou cauchemar pour le Gym en terre olympienne ?

 

Le rêve : le 7 février 2006, Monaco-Nice (0-1) «Il y avait beaucoup de tension sur ce match, entre deux équipes très proches l’une de l’autre. Vieri touche la barre d’ailleurs à un moment donné, mais le match a finalement basculé de notre côté avec le but d’Ederson à deux minutes de la fin. Heureusement qu’on n’avait pas joué les prolongations car on était à bout physiquement, Fanni et Rool étaient même claqués… Ce match avait laissé des traces, mais on était tellement heureux de se retrouver au Stade de France deux mois plus tard !»

 

La performance à reproduire : le 29 août 2007, Marseille-Nice (0-2) «Je me souviens parfaitement de ce match car ça faisait trente et un ans que Nice n’avait plus gagné à Marseille. L’OM était dans une période difficile, et on avait fait le match qu’il fallait en allant les chercher très haut pour les empêcher de jouer. J’avais dévié le ballon de la tête sur le premier but d’Hognon en tout début de deuxième mi-temps, et Baky avait fait la différence pour décaler Hellebuyck sur le côté et perforer la défense marseillaise.»

 

Le cauchemar : le 4 février 2009, Nice-Vannes (1-1) [3-4 aux tirs au but]. Lionnel Letizi s’en souvient encore : «C’était difficile car tout le monde attendait que l’on gagne. Le terrain aussi était difficile à cause de la pluie, mais si tout va bien, on doit mener 3- 0 à la pause. Les tirs au but ne nous ont pas souri… Du coup, on avait un peu terminé le championnat en roue libre vu que l’on n’avait plus rien à jouer. Une victoire au contraire nous aurait donné de l’élan jusqu’à avril je pense… Demain, une victoire pourrait être le déclic qu’il manque à l’équipe en championnat. Ça tomberait bien avant d’aller à Ajaccio…»