"Monsieur Puel ne m’a pas parlé une seule fois. Il était bien décidé à me laisser partir. Si j’étais resté, je n’aurais pas beaucoup joué. Quand un coach ne te parle plus, on se pose toujours des questions. Je ne sais pas pourquoi il ne me faisait plus jouer. J’aurais juste aimé avoir une discussion pour savoir ce qu’il attendait de moi, qu’il vienne me parler avec sincérité car je n’étais plus le jeune joueur arrivé de Monaco il y a quatre ans... Le président aurait vraiment voulu que je reste, parie Eysseric. Je lui demandais pourquoi je n’entrais pas dans les plans de l’entraîneur. Il me disait que le coach était quelqu’un d’assez discret, qui parlait peu aux joueurs. Jean-Pierre Rivère me prévenait qu’avec tous les matches dans la saison, j’allais avoir du temps de jeu. Mais disputer dix ou quinze matches, ça ne m’intéressait pas."


Déjà faudrait-il en jouer un... mais bon. La remise en question n'est pas le fort du milieu qui menace "Si Saint-Étienne ne lève pas l’option, je serai déçu. Je retournerai à Nice si je suis obligé. Mais je ne veux pas revenir là-bas et perdre le plaisir de jouer au foot." Mais tu nous a fait perdre le plaisir du foot