Ineos, propriété de Jim Ratcliffe nouveau propriétaire de l'OGC Nice, devient, en plus, le sponsor principal du Gym. On parle d'un contrat jamais vu à Nice puisqu'il dépasserait les 15 millions d'€ par an. La marque Ineos sera présente sur les maillots dès cet après midi lors du match amical contre Cardiff.
Commentaires
Selon France-Football , après Nice et Marseille, Mario Balotelli pourrait effectivement poser ses valises...à l'AS Monaco. Et même s'il n'est pas le choix numéro 1 de Leonardo Jardim, l'attaquant italien serait sur une short-list monégasque
Autre hypothèse LS pourrait devenir un club où nos jeunes pourraient franchir un palier comme pour MONACO avec le cercles de bruges
Tout change, rien ne change, c’est le surplace perpétuel. Lausanne-Sport a repris sa marche peu triomphante en ramenant un seul point de Schaffhouse (2-2), là même où l’on attendait qu’il entame sa saison avec un succès qui lui aurait permis d’afficher ses ambitions : celles d’une équipe qui vise ouvertement la promotion si l’on s’en tient au message officiel des dirigeants, du staff et des joueurs de la Pontaise.Les rois vaudois du nul doivent pourtant affronter quelques vents contraire qui soufflent à l’interne. Avec la volonté manifeste et désormais affichée du propriétaire de réduire la voilure en se lançant dans un train d’économies… Le tout puissant Ineos qui, après avoir ouvert les cordons de la bourse sans compter, se lance depuis plusieurs semaines dans des calculs d’épiciers (ou de grossistes), voilà qui prête déjà à sourire. C’est surtout un message négatif lancé à la communauté du LS et de ses supporters. Ce n’est certes pas un abandon mais cela ressemble déjà à un pas de retrait lourd de conséquences…Au moment où les efforts d’Ineos semblent davantage se concentrer sur la conquête du maillot jaune et le rachat de l’OGC Nice (sans cesse annoncé de source sûre mais jamais officiellement confirmé), la multinationale de Rolle a choisi de changer de stratégie, celle mise en place la saison dernière s’étant avérée peu suffisamment payante.
Pour andré boschetti journaliste suisse c'est oui et il s'explique
L’arrivée d’Ineos aux commandes du Lausanne-Sport avait suscité, chez ses supporters, l’espoir d’un rapide retour aux habitudes européennes des années 90. Mais, tant dans le monde sportif qu’industriel, rien ne se construit en un simple claquement de doigts. Pour avoir voulu mettre la charrue avant les bœufs, le LS version David Thompson l’a appris à ses dépens. Les sommes déraisonnables - pour le standing du club - investies pour acquérir, puis rémunérer, des joueurs moyens ou mal dans leur peau n’ont non seulement pas amené les résultats escomptés mais ont surtout lancé le pire des messages possibles: celui d’un club aux fonds presque illimités dans lequel il était facile de venir se remplir sans risque les poches.
Les deux cuisants échecs consécutifs subis par le LS ont coûté sa place à David Thompson. Son successeur, Bob Ratcliffe a, lui, choisi de montrer à son frère Jim, le richissime big boss d’Ineos, qu’il était capable de faire mieux avec beaucoup moins. Les ambitions lausannoises de retour en Super League ne changent donc pas mais, aujourd’hui, le LS offre l’image plus saine et cohérente d’un candidat ambitieux à la promotion qui ne fait plus n’importe quoi de ses deniers.Dans ce sens, la cure d’amaigrissemen t imposée par Bob Ratcliffe n’a rien de scandaleux. On ajoutera même qu’elle est logique puisque le LS n’a fait que réduire un contingent pléthorique en se séparant, avec une certaine habileté, de ces joueurs onéreux qui ne désiraient plus mouiller leur maillot pour le club.
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