Sans recrues, le Gym va défier l'OM ... Retrouvez toutes les infos, remises à jour quotidiennent..

 

 

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Les stats

 

Victoire(s) Nice : 22 - Nul(s) : 15  - Victoire(s) Omympique de Marseille : 17

 

 Les  10  derniers OGC Nice -Olympique de Marseille

 

21/10/2018 Ligue 1 OGC Nice 0 - 1 Olympique de Marseille


01/10/2017 Ligue 1 OGC Nice 2 - 4 Olympique de Marseille


11/09/2016 Ligue 1 OGC Nice 3 - 2 Olympique de Marseille


14/02/2016 Ligue 1 OGC Nice 1 - 1 Olympique de Marseille


23/01/2015 Ligue 1 OGC Nice 2 - 1 Olympique de Marseille


18/10/2013 Ligue 1 OGC Nice 1 - 0 Olympique de Marseille


31/03/2013 Ligue 1 OGC Nice 0 - 1 Olympique de Marseille


24/03/2012 Ligue 1 OGC Nice 1 - 1 Olympique de Marseille


05/12/2010 Ligue 1 OGC Nice 1 - 0 Olympique de Marseille


05/12/2009 Ligue 1 OGC Nice 1 - 3 Olympique de Marseille

 

 

 

 

 

Les news

  
 
28/08
 
Les équipes selon 
 
L'Equipe
 
 
 
Nice Matin
 
 
 
27/08
 
Le groupe marseillais : Pelé, Mandanda, Dia - Sakai, A. Gonzalez, Kamara, Caleta-Car, Sarr, Amavi - Sanson, Payet, Strootman, Gustavo, Khaoui, Lopez, Chabrolle - Radonjic, Benedetto, Germain, Lihadji
 
Le groupe niçois ( le 11 probable en caractère gras) : Benitez, Clémentia - Burner, Pelmard, Herelle, Dante, Cissé, Atal - Tameze, Lees-Melou, Thuram, Cyprien, Lusamba, Sylvestre - Srarfi, Sacko, Le Bihan, Ganago.
 
Sarr serait toujours incertain pour cette rencontre. Coly est suspendu suite à son carton rouge sévère à Nimes. Pelmard pourrtait être titularisé. Danilo devrait faire son retour au milieu de même qu'Atal sur le côté droit mais il ne devrait pas débuter la rencontre.
 
25/08
 

Florian Thauvin s'est entraîné avec ses coéquipiers mais il reste incertain pour cette rencontre.

 

Benitez devrait faire son retour dans les cages tout comme Le Bihan, qui avait ressenti une douleur au genou lors de l'entrainement avant la rencontre Nimes - Nice. Plus de peur que de mal. il pourrait retrouver la tête de l'attaque.

 
 
22/08
 
Les éventuelles recrues ne seront pas présentes car la Ligue prend la date d'origine du match (24 et 25/08) et non le report. L'enregistrement doit de faire 48h avant la rencontre.
 
21/08
 
Clément Turpin arbitrera la rencontre, assisté de Cyril Gringore et Nicolas Danos.
 
 
 
L'interview
 
L'Equipe

Vos deux victoires doivent vous donner une grande confiance avant de recevoir Marseille, mercredi...


On ne s'attendait pas à démarrer aussi bien ce championnat. Il n'y a que les victoires qui vous donnent de la confiance.

Vous sentez-vous pousser des ailes avec le rachat qui approche ?


À l'heure où je vous parle, notre effectif est celui que vous connaissez. Ce n'est pas à moi de répondre.

 

Que représente ce match face à Marseille ?


Nice-OM, ça sonne comme un derby. C'est un match particulier. Il y aura une ambiance extraordinaire. On va tout donner, on verra le résultat à la fin. Quand tu entends l'OM, ça ne sonne pas comme un match lambda.

Même face à un OM qui n'est pas en grande forme ?


Ça ne veut rien dire. Toutes les équipes traversent des périodes un peu compliquées, mais les joueurs sont les mêmes : Payet, Thauvin, Luiz Gustavo, ce sont des joueurs extraordinaires. La forme du moment ne veut strictement rien dire.

 

cyprien171

 

Vous dites avoir été surpris d'avoir démarré par deux victoires. L'êtes-vous aussi et par votre grande forme personnelle ?


Surpris, non. Il n'y a que vous qui êtes surpris parce que vous étiez impatients que je retrouve le niveau que j'avais. C'est exactement la même chose que sur le plan comptable : ce n'est que le début. Mais j'ai mis toutes les chances de mon côté pour que ça se passe bien.

Ce poste de milieu juste devant la défense est celui qui vous correspond le mieux ?


C'est là où je réalise mes meilleurs matches pour le moment. Quand je suis en forme, je peux jouer partout au milieu. Mais quand j'ai le jeu face à moi, c'est un petit peu plus simple.

 

Quand Patrick Vieira vous met à cette place, on l'écoute...


Quand l'un des meilleurs milieux de l'histoire du foot te dit que tu es mieux à ce poste-là, tu ne peux que croire ce qu'il te dit. »

 

 

 

Les déclarations d'avant-match

 

Patrick Vieira :

Les joueurs sont irréprochables depuis le début de la saison. On a bien préparé ce match contre Marseille. On sait qu'il faudra produire du jeu. Ce qui est important pour nous, c'est de se concentrer sur le jeu... Il faut se méfier parce que c'est un derby et qu'il y a des grands joueurs dans cette équipe de Marseille. On sait que quand les grands joueurs sont dos au mur, ils savent réagir.

 

André Villas-Boas :

Nice est en confiance. Ils ont eu des résultats positifs dans deux contextes particuliers, un match à 11 contre 10 (Amiens, 2-1), un autre à 10 contre 11 (Nîmes, 2-1). Ils sont bien organisés, bien entraînés par Patrick (Vieira). Je veux la victoire et voir une progression de l’équipe, c’est le plus important pour moi.

 

Maxime Lopez : 

On n'a pas vraiment le temps de préparer. On a un calendrier assez chargé avec des gros matches. On connaît bien Nice qui a un très bon coach. Le coach est derrière nous, il essaye de nous faire comprendre ce qu'il attend de chacun de nous mais ce n'est pas un magicien. C'est à nous de nous bouger sur le terrain.

 

 

 

Revue de presse   

Un milliardaire very Nice

Aujourd'hui en France

Jim Ratcliffe, l’homme le plus riche du Royaume-Uni, patron du groupe pétrochimique Ineos, vise le top 4 de la L 1 dans « trois à cinq ans » avec l’OGC Nice, qu’il s’est offert, lundi, pour 100 millions d’euros.

L’acquisition record de Jim Ratcliffe sur la Côte d’Azur n’a rien d’un hasard. « Il est difficile de trouver meilleur emplacement que la région méditerranéenne et, au cours des vingt dernières années, nous nous sommes enracinés dans cette sublime région », clame ainsi le président d’Ineos, également propriétaire, depuis mai, de l’équipe cycliste vainqueur du dernier Tour de France, dans un communiqué diffusé sur le site de l’OGC Nice. 

Le groupe de pétrochimie de sir Jim, appelé ainsi depuis son anoblissement par la reine l’an dernier, réalise 12 % de son chiffre d’affaires en France, grâce notamment à la raffinerie de Lavéra, dans les Bouches-du-Rhône. Et, à titre personnel, l’homme le plus riche du Royaume-Uni, dont la fortune est estimée à 24,4 milliards d’euros, apprécie son fastueux pied-à-terre à Saint-Jean-Cap-Ferrat, 10 km à l’est de Nice. Et assume sans fard son exil fiscal à Monaco.

Sollicité en novembre 2018 par Julien Fournier, le directeur exécutif des Aiglons, le clan Ratcliffe a entamé les négociations en février dernier, sensible au projet niçois. De passage au siège du club lundi, Bob Ratcliffe, le frère du milliardaire, entérinait l’achat du club. « The deal is done [l’affaire est bouclée] », lâchait-il dans un sourire. Ce dernier dirige le pôle football d’Ineos, créé lors de l’acquisition de Lausanne-Sports en novembre 2017. Un échec jusqu’à présent.

Reléguée en deuxième division six mois après l’arrivée d’Ineos, l’équipe suisse est loin des ambitions européennes affichées au moment de la venue du Britannique. A son arrivée à Nice, Jim Ratcliffe a anticipé les réticences des supporteurs du Gym. « Nous avons commis quelques erreurs à Lausanne, mais […] elles ont été rectifiées. »

Il n’est pas question pour le richissime propriétaire d’Ineos de déverser ses pétrodollars dans les finances de l’actuel quatrième de Ligue 1, auteur d’un bon début de saison. Pied de nez à l’OM, son rival, qu’il affronte ce soir en match décalé de la 3 e journée (21 heures), Nice affiche ostensiblement des objectifs mesurés. « Notre ambition est d’atteindre le top 4 de la L 1. On ne va pas promettre la Ligue des champions cette saison », a déclaré, hier, en conférence de presse, Bob Ratcliffe, qui devrait être le visage de l’OGCN version Ineos, au côté des revenants Jean-Pierre Rivère et Julien Fournier, au sommet de l’organigramme.

Dolberg, Claude-maurice et ounas attendus en renfort


Côté transferts, donc, il ne faut pas s’attendre à des folies. Cependant, l’effectif niçois disposera bien de sa tête d’affiche avant la fermeture du mercato lundi prochain : comme à Lausanne, où les Britanniques avaient attiré Enzo Zidane durant l’intersaison, les Aiglons devraient officialiser demain l’arrivée de l’attaquant danois Kasper Dolberg, 21 ans, qui avait crevé l’écran en 2017 face à Lyon en Ligue Europa.

Outre l’attaquant de l’Ajax Amsterdam, la formation de Patrick Vieira, entraîneur du Gym depuis juin 2018, attend l’arrivée du Lorientais Alexis Claude-Maurice, du Napolitain Adam Ounas et celle, toujours espérée, du Parisien Stanley Nsoki.

Chez les supporteurs, l’air du temps est plutôt à l’enthousiasme. Même le maire de la ville, Christian Estrosi, y va de son éloge. « C’est un capitaine d’industrie, un homme d’affaires, un vrai passionné de sport. Il a vécu le Tour de France au plus près avec sa formation Ineos, je l’ai vu savourer plusieurs fois sur la ligne d’arrivée. »

En juillet 2020, il flânera sans aucun doute du côté de la promenade des Anglais, non pas pour rendre hommage à ses compatriotes qui l’ont baptisée ainsi deux siècles plus tôt, mais pour assister à l’arrivée de la première étape de la Grande Boucle. Dans l’espoir d’un nouveau sacre d’un de ses poulains Ineos, après celui d’Egan Bernal, 22 ans, cet été.

Jusqu'aoù Inéos hissera Nice

 L'Equipe

Bob Ratcliffe, le président d’Ineos Football, en a dit plus sur les visées du groupe de pétrochimie pour le club azuréen. S’il veut le mener dans une autre dimension, il réclame de la patience.

NICE – Bob Ratcliffe avait pris un calepin qu’il n’a pas eu besoin d’ouvrir. Arrivé hier en début d’après-midi en salle de presse de l’Allianz Riviera, le frère de Jim, le patron d’Ineos, s’est présenté décontracté devant la vingtaine de journalistes.

Pendant une demi-heure, il a détaillé comment le groupe anglais spécialisé dans la pétrochimie comptait développer l’OGC Nice. Avec toujours le souci de « tempérer les attentes », mais avec ambition.

L’homme d’Ineos sera Bob Ratcliffe


Prévenons tout de suite les plus de 30 000 spectateurs qui se rendront à l’Allianz Riviera ce soir : cela ne servira à rien de guetter Jim Ratcliffe en tribune officielle. La plus grande fortune d’Angleterre ne sera pas là et devrait se tenir éloigné des affaires du club.

« Il nous donnera la feuille de route et les objectifs, et nous, Ineos Football, on va se charger de les atteindre », détaille son frère Bob. Déjà président de Lausanne-Sport (D 2 suisse), racheté par Ineos en 2017, Bob Ratcliffe est le boss de la branche football du groupe, et donc des deux clubs que possèdent les Anglais. C’est lui qui est devenu lundi le nouveau président du conseil de surveillance, et c’est lui, logiquement, qui s’est présenté face aux médias pour incarner le nouveau projet.

Interrogé sur le prix du rachat (estimé autour de 100 M€), Bob Ratcliffe n’a pas souhaité donner de chiffres. Mais il a confirmé qu’Ineos était désormais propriétaire du club « à 100 % ». Pour le reste de l’organigramme, il faudra attendre demain pour connaître le nom du nouveau président du directoire, un rôle occupé par Gauthier Ganaye depuis le départ de Jean-Pierre Rivère en janvier. Sauf surprise, c’est bien ce dernier qui reprendra le poste. Il reconstituera son duo avec Julien Fournier. « On a vu ce qu’ils avaient fait à l’OGC Nice entre 2011 et 2019. C’est impressionnant », a souligné Ratcliffe.

Des jeunes visés, des investissements mesurés


Kasper Dolberg (21 ans), Alexis Claude-Maurice (21 ans), Hichem Boudaoui (19 ans) : les premières recrues niçoises (voir par ailleurs) traduisent le discours de Bob Ratcliffe. « Si on veut réussir dans ce projet, c’est important de recruter de jeunes joueurs, explique celui qui a fait sa carrière dans les services financiers. Nice n’est pas un club qui va acquérir des joueurs de vingt-sept ou vingt-huit ans. Nous préférerons faire grandir nos propres joueurs que payer pour des joueurs que d’autres ont fait grandir.» Bob Ratcliffe a pris l’exemple de Dante pour préciser que des joueurs d’expérience viendraient encadrer l’ensemble. Il a aussi mentionné l’entraîneur Patrick Vieira, « un élément clé dans notre projet», car « il sait travailler avec les jeunes joueurs ».

Si Ineos souhaite faire passer le Gym dans une nouvelle dimension, c’est donc avec un recrutement se rapprochant plus du LOSC de Gérard Lopez que du Paris-SG des Qatariens. Les Ratcliffe ont beaucoup d’argent, mais ils ne dépenseront pas sans compter. Le retour de l’attelage Rivère-Fournier est d’ailleurs un gage en ce sens. « On ne sait pas combien on va mettre cet été. On sera très attentifs à ce qu’on va dépenser, insiste Bob Ratcliffe, sans donner de chiffres. Dans le futur, la vente de joueurs sera un aspect important, comme dans n’importe quel club, mais on cherchera à engager des joueurs pour une longue durée pour qu’ils puissent grandir ici. »

Le boss d’Ineos Football a également parlé de la nécessité de développer les ressources du Gym. Parce que le développement de l’OGCN doit concerner l’ensemble du club, et parce qu’il y aura « le fair-play financier à respecter» pour les compétitions européennes. Signe qu’Ineos compte bien grossir l’enveloppe allouée aux transferts…

Des ambitions, mais à moyen terme


Ineos compte investir, mais en douceur. Peut-être échaudé par ses débuts ratés à Lausanne-Sport – descendu en deuxième division la première saison (2017-2018) avant de manquer la remontée lors de la seconde (2018-2019) –, Bob Ratcliffe incite à la prudence : « On doit tempérer l’attente des supporters. On doit d’abord bâtir des fondations, être patients, parce qu’on veut atteindre un niveau et s’y maintenir. »

Concrètement, les nouveaux dirigeants veulent « atteindre le top 4 de la Ligue 1 » et se donnent « trois à cinq ans pour commencer à jouer les compétitions européennes avant d’y pérenniser le club ». Bob Ratcliffe ne « sous-estime pas la concurrence », dévoilant ces mots que lui a adressés le président de la DNCG : « Il y a dix clubs qui ont le même discours que vous. »

Le dirigeant a aussi évoqué la place du football français sur la scène européenne. « On aimerait voir quatre clubs de Ligue 1 aller en Ligue des champions. Si l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne et l’Angleterre ont cela, pourquoi pas la France ? » Il n’y a plus qu’à.