"La première fois qu'on rencontre Patrick à New York on lui précise que la seule difficulté de notre projet, c'est qu'on souhaite changer d'investisseurs et d'actionnaires, a expliqué Rivère. Pendant deux ans, ça a été un rapport de force. [...] À la fin du mois de janvier, on n'en pouvait plus avec Julien (Fournier) de supporter ce qui se passait notamment au niveau des mercatos. Le jour où on part, on se donne rendez-vous avec Julien à 9 heures et on décide de partir. À 11 heures, on voit Patrick qui tombe des nues. Il a très mal vécu cet épisode puisqu'il était venu pour nous. On a été très déçu de ce qui s'est passé après, je ne vais pas rentrer dans les détails, et puis le projet Ineos l'a emporté sur le projet des Chinois. Avec Patrick, on a eu une vraie explication d'homme à homme, où on s'est tout dit sans rien oublier. Maintenant on regarde l'avenir, on souhaite que Patrick soit le coach de l'OGC Nice pendant de longues années et on espère qu'il fasse ce choix-là, lui aussi." a déclaré au CFC, le président de Nice, Jean Pierre Rivère. Pourtant le ton et les réponses sur les approches de Lyon donnent moins d'assurance.