Revenant sur le choix et surtout les contre-performances de Mezyane Maolida et Danilo, le président niçois, Jean-Pierre Rivère indique à Nice Matin : " C’est sans doute mental. On le voit bien, ils ont du mal à s’exprimer. Gagner des matchs permet de jouer beaucoup plus libéré." Cela ne dure pas depuis 4 matches mais depuis plus d'un an.