C'est en lisant cet article de l'Equipe qui nous rappelle de mauvais souvenirs, que nous disons, que nous avons de la chance d'avoir Ineos et Jean-Pierre Rivère

 

Les Girondins de Bordeaux ont annoncé ce jeudi dans un communiqué de presse que « King Street ne souhaitait plus soutenir le club et financer ses besoins actuels et futurs ».


Rien ne va plus aux Girondins de Bordeaux. Alors que sportivement ils luttent pour le maintien, le club a annoncé dans un communiqué ce jeudi, le départ de King Street, leur actionnaire, ne souhaitant « plus soutenir le club et financer ses besoins actuels et futurs. » Une situation qui pousse le président du club, Frédéric Longuépée, à placer le club sous la protection du Tribunal de commerce. Un mandataire sera nommé.

Pour rappel, le club girondin est passé sous pavillon américain avec King Street comme actionnaire majoritaire et GACP en tant que gestionnaire du club, en novembre 2018. Le départ du groupe M6, jusqu'ici actionnaire des Girondins aura donc été à l'origine de nombreux conflits au sein du club au scapulaire. L'arrivée du fond de pension américain mené par Joe Da Grosa n'avait pourtant pas inquiété les instances de football comme la DNCG. L'entente entre les deux groupes américains avait rapidement tourné au vinaigre poussant Joe Da Grosa et ses associés vers la sortie.

 

Frédéric Longuépée controversé


Pour les supporters et notamment le groupe des Ultras Marines UB87, la nomination de Frédéric Longuépée, en tant que président des Girondins de Bordeaux, a fait grincer des dents. Depuis sa prise de poste, les suiveurs du club souhaitent son départ. Une volonté non écoutée par King Street. A l'origine de cette rupture, le Girondins Leaks. Dans cette affaire, des enregistrements entre Frédéric Longuépée et Anthony Thiodet, ancien responsable de la stratégie commerciale du club, avaient été révélés au grand jour. L'Equipe