Ce matin, la tête endormie, vous allez prendre Nice Matin (vous savez le journal, que nous avons contribué à sauver, on peut dire nous car nous y avons participé faiblement certes, mais nous y avons participé) et vous vous arrêtez sur la une...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Là, vous vous dites qu'on parle de foot, d'envie , de combativité que le journaliste comme les supporters en a marre de voir des purges à vous dégouter du football comme dirait mon ami Jacky... mais là non, il parle des supporters.

 

 

 

 

 

Il raconte une histoire de 300 supporters venus en découdre avec le président de Nice relayé par des propos du sous-préfet. Le journaliste était-il là? On en doute. Le journaliste a-t-il fait son job en interrogeant les spectateurs qui étaient à côté? On a un doute aussi. Car nous dans la tribune d'en face, sans se déplacer, nous avons eu des informations différentes: comme quoi un supporter qui avait l'habitude d'aller à chaque match saluer un ami fut arrêté alors que lors des matchs précédents ce n'était pas le cas... Nous ne disons pas que c'est la vérité, nous disons que le journaliste a un devoir de recherche avant d'incriminer aussi vite les supporters comme il le fait dans Nice Matin d'aujourd'hui. Nous ne disons pas qu'il a tort mais nous aimerions bien avoir les deux versions.


Une déferlante de superlatifs qui va aller encore une fois à l'encontre des supporters mais aussi du club!


A lire dans Nice Matin.