On le savait. Il y a eu des tensions, une lutte de pouvoir entre les actionnaires sous la houlette du président de l'association, l'indéboulonnable Ange Ferraci. Cela avait commencé en fin d'année dernière. Jean Pierre Rivère l'évoque dans une interview accordée au site officiel du club,: " il est vrai que l’énergie que nous avons du déployer pendant de longs mois avec Julien pour absorber cet environnement négatif afin qu’il n’impacte pas l’équipe nous a un peu épuisés moralement. Il y a encore peu de temps, nous nous sommes réellement posés la question de clôturer cette belle histoire.Mais nous sommes trop respectueux et attachés à ce club, aux salariés, aux supporters pour mettre en difficulté l’institution OGC Nice. Personne n’est irremplaçable. Mais nous avons considéré que le timing n’était pas bon. Nous continuons donc à porter le projet, en attaquant un nouveau cycle. Et nous avons l’espoir de faire encore grandir l’OGC Nice.