Qu’en est-il d’un éventuel repreneur ?
JPR : Nous avons acté en fin d’année dernière deux choses : la programmation de notre départ et la recherche d’investisseurs. Il y a des rencontres, des discussions, des marques d’intérêt de plusieurs personnes. En deux ans, nos associés pourraient doubler leur mise, c’est extrêmement rare dans le business et en particulier dans le football. A quelques millions près, il y a une offre de reprise qui pourrait leur convenir. Il y a d’autres pistes. L’OGC Nice ne laisse pas indifférent, c’est un club séduisant, qui a tous les atouts pour continuer sa marche en avant. Peut-être que nos associés, une fois dans la lumière, changeront leur avis mais pour l’instant nous recherchons encore des investisseurs. Cela nous permettrait de terminer le travail.
JF : Le processus est en marche, les premières vérifications ont été effectuées. On ne cherche pas des investisseurs pour garder notre poste. Je ne serai pas contre le fait de continuer l’aventure si les conditions étaient réunies. Mais si le nouveau repreneur veut mettre son équipe en place, ça me va très bien. Au moins, on aura fait le boulot jusqu’au bout et on laissera le club entre de bonnes mains.
JPR : Je ne souhaite pas faire de l’ombre à qui que ce soit mais je serai vigilant. Je ne retiendrai que le positif. Je dis merci à tout le monde, ou presque. Le staff, les joueurs, les salariés, nos partenaires, les supporters, tous ceux qui nous ont accompagnés dans cette belle aventure. J’ai vécu une histoire que je souhaite à tout homme. Le seul regret, c’est de ne pas avoir pu passer davantage de temps avec les uns et les autres.