Le coach niçois évoque les questions d'ego et de Balotelli dans une interview accordée au Journal du Dimanche.
Il indique :" Joueur, j’ai connu des vestiaires avec de gros ego. J’en avais un moi-même, sans ça je n’aurais pas fait carrière. Bien géré, c’est une qualité. L’idéal, c’est qu’il s’imbrique dans le collectif. Mario Balotelli avait un ego différent qui n’était pas au service des autres. Ce n’est pas un méchant mais, compte tenu de mon projet, travailler avec lui c’est beaucoup plus difficile qu’avec un autre. Avec le recul, j’aurais dû le laisser partir plus vite. Il avait décidé de s’en aller, est arrivé en retard en stage. Mais on a discuté et on a essayé. Ça n’a pas fonctionné ; je le constate sans amertume ni agressivité.."