« J’ai appelé même Renato il y a une quinzaine de jours en argentine pour lui préciser que s’il ne trouvait pas une offre qu’il lui convenait il pouvait nous téléphoner. » déclare Jean Pierre Rivère dans Nice. Le président niçois répond aussi à l’interview du défenseur dans France Football daté du 18 juin : « Le demande formulée (par Civelli et son agent) a été de toucher le même salaire net d’impôt. Ce qui pour nous, alors que Renato était un des plus gros salaires du club, signifiait de doubler ce dernier. Nous avons proposé une revalorisation qu’il a jugé insuffisante.
Concernant Cvitanich, le président niçois déclare ne pas l’avoir eu au téléphone. D’autre part il n’était pas prévu de le rencontrer avant le 1er juillet comme les autres joueurs. « Je n’aime pas les contre-vérités » explique le n°1 Niçois. Seul son agent appelle le club afin d’affirmer qu’il gagnerait trois fois plus ailleurs. Pourtant le Gym n’a pas reçu de proposition. « Ce qui m’irrite un peu c’est que j’ai l’impression qu’on est train de nous forcer la main sur le plan financier. » déclare pour finir Jean-Pierre Rivère.
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