Hatem Ben Arba a été présenté aux supporters à la boutique de l'OGC Nice. Le joueur a été très applaudi par un public nombreux. L'ancien joueur de Newcastle a signé un contrat de 18 mois et portera le numéro 4. Auparavant, il a expliqué, en conférence de presse, son choix de venir à Nice.

 


 

 

 

 

Comment s’est décidée votre arrivée à Nice?


J’ai été en contact avec Mathieu Bodmer, que je connais bien, on a discuté et il en est venu à me demander si ça pouvait m’intéresser de venir à Nice. J’ai réfléchi, après j’ai su que Julien Fournier était le directeur général du club, et j’avais eu de très bonnes relations à Marseille. Il m’a appelé, on a discuté longuement, c’est quelqu’un en qui j’ai confiance, et j’avais besoin de cet encadrement, ici, il y a des gens qui me font confiance, qui ne me jugent pas comme soi-disant les gens veulent me juger à travers la presse. J’ai aussi vu le coach, ce fut très important, j’ai bien aimé son intégrité, son approche du foot et au bout de dix minutes, mon choix était fait, son discours m’a plu immédiatement. Même si le Real était venu à ce moment-là (sourires), mon choix était fait.


Etait-il important pour vous de revenir jouer en France?


Oui, je voulais vraiment revenir en France, où j’ai grandi. Et à Nice, je pense qu’il y a tout pour que je puisse m’exprimer. Je viens pour prendre du plaisir, aider ce club à avancer avec mes qualités, gagner.


Vous basculez dans un club qui joue le maintien. Un choix qui peut surprendre...


Oui, mais c’est un très bon club, qui a une grande histoire, avec des gens qui sont ambitieux, avec des joueurs que je connais comme Bodmer, S. Diawara et Digard. J’ai 27 ans, j’ai accumulé beaucoup d’expériences, bonnes ou mauvaises, et j’espère en faire profiter Nice.


Comment vous sentez-vous, alors que vous n’avez plus joué depuis fin novembre?


Je me sens très bien. Je vais faire des tests physiques. Je suis impatient de retrouver le terrain mais pas plus impatient que ça, on verra surtout quand je serai prêt. Est-ce que l’équipe de France est dans un coin de votre tête? Non, pour l’instant, je n’y pense pas du tout.