Grégory Paisley, ces dernières saisons, vous étiez passé dans l'axe de la défense. Au cours de la préparation estivale, avez-vous retrouvé les sensations de latéral gauche, poste pour lequel Nice vous a engagé pour deux saisons?
C'est un peu comme le vélo, cela ne s'oublie pas. Les matches amicaux m'ont déjà permis de retrouver mes repères. La compétition délivrera son lot de vérités. Quant à Cyril, je sais l'immense empreinte qu'il a laissée, ici, à Nice. Je n'ai pas du tout le même profil sportif. Je donnerai le meilleur pour l'équipe et le club. Mon style: je suis défenseur avant tout.
Comment jugez-vous votre nouvelle équipe ?
Elle est jeune, sympa et accueillante. Je vais essayer de lui faire profiter de mon expérience et de mon vécu. Il y a du talent, c'est indéniable. Mais cela ne suffit pas toujours. A nous de nous donner les clés pour réussir quelque chose de sympa. Dans un championnat aussi homogène, la vigilance est indispensable. L'état d'esprit doit être irréprochable. Quant aux épisodes du marché, nous avons continué à faire notre boulot. Ce sont des paramètres que nous ne contrôlons pas. Mais nous sommes bien contents que Loïc continue avec nous.
Qu'attendez-vous de cette saison ?
Déjà de reprendre du plaisir en retrouvant la L1. Le reste viendra tout seul. Là, maintenant, j'ai vraiment hâte que le championnat débute. Je ne dois pas être un cas unique. La préparation est longue.
