Grégory Paisley : "L'OM est difficile à manœuvrer"

Comment abordez-vous ce match contre l’OM ?

D’une bonne manière… Malgré la défaite contre Sochaux, nous étions dans une bonne dynamique. Le contenu du match fait que l’on peut aborder ce match d’une bonne manière.

 

Nice reste sur quatre succès à domicile. Est-ce un plus pour vous ?

 

C’est toujours mieux que l’inverse mais on va jouer l’OM, qui est un gros de ce championnat, et on sait que ça va être compliqué, comme toujours.

 

Face aux grosses équipes (Lyon ou Paris), Nice réussit bien. Est-ce une de vos spécialités ?

 

L’activation mentale se fait toute seule, C’est toujours mieux de jouer de grandes écuries. Maintenant, je ne sais pas si nous sommes faits pour jouer contre ces formations. Mais ces derniers temps, cela s’est toujours bien passé mais il faut que cela se confirme.

 

Contre Sochaux, vous perdez sur un but où le ballon n’est semble-t-il pas entièrement entré dans les buts…

 

On a été légèrement lésés là-dessus. Cela fait partie du jeu et du championnat. On dit toujours que cela s’équilibre dans la saison. De toute façon, on ne peut plus revenir en arrière. C’est regrettable, lorsque nous pratiquons le football que nous avons fait à Sochaux, de perdre. On reste sur notre faim.

 

Que pensez-vous de l’effectif de l’OM et qui faut-il surveiller des près ?

 

Il y a beaucoup de qualité. La valeur intrinsèque des joueurs est importante. Le danger peut venir de partout. On s’attend à une rencontre compliquée et difficile. Tout le monde est dangereux. Il y a Mamadou Niang… Il y a toujours des joueurs-clefs dans une équipe et il en fait partie. S’ils sont tous au diapason, c’est une équipe difficile à manœuvrer.

 

Qu’apporte Ospina, votre gardien, à l’équipe ?

 

Il a des particularités avec son dégagement et sa relance. C’est très important pour l’équipe. C’est un des rares gardiens qui fait des passes décisives. Il a des mains aussi, c’est un très bon gardien. On l’a vu ces derniers temps, à l’image de l’équipe. En tant que défenseur, on a besoin de s’appuyer sur quelqu’un de sûr.