Aujourd’hui, Gilbert Stellardo, le président de Nice, rentre de Venise et trouvera dans son courrier la lettre recommandée des industriels franco-libanais souhaitant racheter le club ainsi que le détail de leur projet, fondé sur le modèle Arsenal (centre de formation très puissant). Leur offre est de 10 millions d’euros. Celle de 4, avancée par les actuels dirigeants des Aiglons, n’a jamais existé !
Une intervention décisive pourrait accélérer les négociations. Le maire UMP de Nice, Christian Estrosi, verrait d’un bon oeil le projet de reprise, piloté par Charles Villeneuve, l’ex-président du PSG, qui est mandaté dans cette affaire. Estrosi pourrait rapidement faire comprendre à Stellardo que le rachat de Nice relancerait un club moribond depuis longtemps.