Lors d'une longue interview à Onze Mondial daté du 9/02, Hatem Ben Arfa nous parle de Claude Puel
Tu viens de faire six mois très convaincants à Nice. On sent que tu prends plaisir à jouer, à encadrer les jeunes, que tu t’éclates individuellement et collectivement.
Oui, et je le dois à mon entraîneur. Vous les journalistes, vous ne pouvez pas vous en rendre compte, vous ne voyez que le terrain – les journalistes ou les gens, hein. Mais lorsqu’un coach t’aide et te fait avancer au quotidien, ça change tout. Sans Claude Puel, je n’aurais pas pu faire ces six mois. J’ai la chance d’avoir croisé la route d’un coach qui me pousse chaque jour. Et puis Fournier, le président Rivère, les supporters, tout le club… L’environnement est très important. Après, mentalement on avance aussi. Avec les épreuves, on ne refait pas les mêmes erreurs, on apprend et on rectifie. C’est pour ça qu’il me reste encore de belles années devant moi.
La rencontre avec Puel a été un vrai coup de foudre…
La rencontre avec Puel, c’est la meilleure chose qui me soit arrivée dans ma carrière.