Même si Nantes est à la peine, les matches face aux canaris nous ont, souvent, laissé un goût d'inachevé ... Retrouvez toutes les infos, remises à jour quotidiennement.
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Les stats
Les 10 dernières confrontations
12.03.23 Nantes - Nice 2 - 2 Ligue 1
23.10.22 Nice - Nantes 1 - 1 Ligue 1
07.05.22 Nice - Nantes 0 - 1 Coupe de France
14.01.22 Nice - Nantes 2 - 1 Ligue 1
12.09.21 Nantes - Nice 0 - 2 Ligue 1
04.04.21 Nantes - Nice 1 - 2 Ligue 1
03.10.20 Nice - Nantes 2 - 1 Ligue 1
05.10.19 Nantes - Nice 1 - 0 Ligue 1
11.05.19 Nice - Nantes 1 - 1 Ligue 1
25.09.18 Nantes - Nice 1 - 2 Ligue 1
Les news
01/12
Le groupe niçois : Boulhendi, Bułka, Sirigu - Bard, Dante, Louchet, Lotomba, Mendy, Perraud, Todibo - Boudaoui, Claude-Maurice, Ndayishimiye, Rosario, Sanson, Thuram - Balde, Boga, Bouanani, Guessand, Laborde, Moffi
30/11
Atal partira au mercato d'hiver selon Nice Matin.
29/11
Selon les informations de l'Équipe et de Ouest France, Le FC Nantes, 11e du championnat de France de football, a décidé de mettre fin à la mission de l'entraîneur montois Pierre Aristouy (43 ans) et a trouvé un accord avec Jocelyn Gourvennec (51 ans) pour lui succéder.
28/11
Rudy Buquet arbitrera la rencontre, assisté par Julien Pacelli et Aurélien Berthomieu.
27/11
Youssouf sera de retour tout comme. Boudaoui . Diop est incertain pour la rencontre
Bard et Moffi pourraient être suspendus en cas de carton jaune lors de cette rencontre.
Touché au genou face au Havre AC dimanche après-midi (0-0, J13 Ligue 1), Ignatius Ganago a joué son dernier match de l'année 2023. L'attaquant du FC Nantes souffre d'une entorse et devrait être éloigné des terrains jusqu'à l'année prochaine. Ouest France.
Les interviews
Après la victoire contre Toulouse, vous étiez inquiet pour Sofiane Diop. Qu'a-t-il exactement ?
C'est effectivement sûrement assez grave. Il en a pour au moins six semaines d'indisponibilité à cause d'une blessure au 3e métatarse du pied droit. On ne le reverra pas avant Noël.
Ne pas prendre de but est-il devenu une obsession pour vos joueurs, et cela se fait-il au détriment de leurs intentions offensives ?
C'est une belle obsession, non ? Lors des dernières minutes contre Toulouse, qui nous a obligés à défendre un peu plus bas, ç'a été un plaisir de voir l'équipe tout donner pour repousser chaque ballon. Mais on a aussi fait des actions à plus de 25 passes contre une équipe qui presse haut, même après avoir marqué. Je ne crois pas que nous soyons une équipe qui ne prend pas de risques. On assume la responsabilité du jeu. La seule fois où on n'a pas été patrons du jeu, ç'a été contre Lille, lors de la 1re journée. Toutes les autres fois, on a dominé le match, même si c'était plus du 50-50 contre le PSG et Monaco.
Comprenez-vous les critiques concernant votre manière de jouer ?
Les critiques comme les compliments sont des choses que l'on doit écouter. Ce sont des sources de stimulation, de remise en question. Mais on est les premiers à s'auto-critiquer. C'est vrai qu'on regarde plus le verre à moitié vide que le verre à moitié plein. Tout ce qui arrive n'est pas le fruit du hasard mais d'un sacrifice de tout le monde. Oui, on aurait pu être plus brillants, mais ce n'est pas simple. Parfois, l'équipe a fait du beau jeu, parfois elle a mis le bleu de chauffe. On a une marge de progression sur plein de choses, et notamment sur notre travail défensif et nos coups de pied arrêtés défensifs.
Pour le travail de votre staff, que cela change-t-il d'affronter une équipe (Nantes) qui vient d'avoir un nouvel entraîneur (Jocelyn Gourvennec) ?
Cela change beaucoup de choses. Ce n'est pas la même chose de préparer un match contre un adversaire dont on connaît l'organisation et jouer contre une équipe qui a un nouvel entraîneur, même si on a étudié ses expériences précédentes. La chose positive est que Nantes a joué avec beaucoup de systèmes différents depuis le début de saison, donc on avait déjà préparé le match en fonction de quatre structures de jeu différentes. »
Les déclarations d'avant-match
Francesco Farioli:
La première chose pour la défense, c'est l'état d'esprit, l'envie de faire la course en plus, de gagner un duel. On concède très peu et quand on concède, on sait redescendre sur le terrain. Aujourd'hui, je ne sais pas combien de tirs ont été renvoyés par les milieux de terrain. Tout le monde met la main à la pâte. Le reste, c'est du travail, l'organisation et l'état d'esprit... C'est un mélange de plusieurs choses, on a des garçons qui donnent tout sur le terrain... C'est cela notre force et c'est ce qu'on devra garder jusqu'à la fin de la saison. On ne travaille pas pour les statistiques mais pour être dans le concret, match après match. On se concentre sur le présent et le futur et pas sur ce qu'on a fait dans le passé..
Jocelyn Gourvenec :
Il y a le constat qu'on prend trop de buts (23 en 13 matches), donc il y a sûrement des choses à corriger, mais je ne suis pas là pour remettre en cause le travail fait avant. Simplement, il y a des choses à améliorer, sûrement à rééquilibrer sur le plan de l'organisation générale de l'équipe, du peps à retrouver pour être plus dynamique, plus intense et faire des choses simples, ce qui est souvent le plus dur, mais c'est vers ça qu'on va tendre. C'est être clair, bien tenir l'état d'esprit et un cap, que les joueurs gardent des repères.