26ème journée de L1 : Amiens - Nice (Revue de presse)

 

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Les stats

 

Victoire(s) Amiens : 5 - Nul(s) : 1 - Victoire(s) Nice : 1

 

Les 7 derniers Amiens - OGC Nice
 
 
 
26/08/2017 Ligue 1 Amiens SC 3 - 0 OGC Nice
 
14/11/2001 Ligue 2 Amiens SC 2 - 0 OGC Nice
 
17/08/1999 Ligue 2 Amiens SC 4 - 1 OGC Nice
 
24/04/1999 Ligue 2 Amiens SC 0 - 1 OGC Nice
 
13/11/1997 Ligue 2 Amiens SC 2 - 2 OGC Nice
 
05/10/1947 Ligue 2 Amiens SC 1 - 0 OGC Nice
 
03/04/1947 Ligue 2 Amiens SC 1 - 0 OGC Nice

 

 

 

 

Les news

 
 
23/02
 
Les équipe selon
 
 
Nice Matin
 
 
L'Equipe
 
 
22/02
 
Le groupe niçois :Benitez, Clémentia - Burner, Jallet, Coly, Pelmard, Hérelle, Sarr - Walter, Tameze, Cyprien, Lees-Melou, Makengo, Danilo, Sylvestre - Saint-Maximin, Srarfi, Pelican, Diaby-Fadiga 
 
Le groupe d'Amiens : Dreyer, Gurtner - El Hajjam, Krafth, Dibassy, Gouano, Lefort, Pieters - Blin, Monconduit, Gnahoré, Bodmer - Guirassy, Mendoza, Konaté, Timité, Ghoddos, Otero.
 
Ganago, blessé, sera absent tout comme Le Bihan trop juste. De plus il souffirait d'une tendinite du genou. Myziane et Atal sont toujours indisponible. 
 
20/02
 
Thomas LEONARD arbitrera la rencontre, assisté de Gilles LANG et Frédéric HEBRARD.
 
Dante est suspendu pour cette rencontre. Saint Maximin devrait faire son retour après son caprice du week-end dernier.
 
 

 

 

L'interview

Nice Matin

 

La gestion du cas Saint-Maximin


« Ce dossier a été réglé en interne, en présence du président, d’Allan, de son agent et moi-même. Ça restera en interne, vous n’avez pas besoin d’avoir plus d’infos. La discussion a été constructive. C’était important de rappeler qu’il y a un protocole mis en place et les joueurs doivent le suivre. Il fallait envoyer un message à tous ces jeunes joueurs de l’OGC Nice pour leur faire comprendre qu’il faut respecter les choses mises en place. C’est bien de les rappeler quand ils les oublient. »


Un joueur difficile à gérer ?


« C'est ce qui fait son charme. Il a sa personnalité, sa façon de jouer aussi est différente des autres. Il est comme il est, on l'aime comme il est. Avec ses défauts et ses qualités, moi aussi j’en ai. On a chacun notre caractère et nos états d'âme. Il faut se concentrer sur le club pour nous permettre de tout faire pour gagner des matches. »


Les raisons de sa sortie médiatique à Angers


« Je n’étais pas dans un esprit de sanction, de mise à pied, j’étais plus dans la communication. On avait besoin d’échanger pour mettre les choses à plat. On est tous ressortis avec les idées claires pour que ce genre de choses ne se reproduise pas. J’en ai parlé parce que je pense que c’était important, je vous laisse porter le jugement de si c’était à faire ou pas. C’est au-dessus d’Allan, de moi, on parle du club, des futurs joueurs, des jeunes de l’Académie. L’échange a été très constructif, c’était l’objectif. »


Saint-Maximin présent à Amiens ?


« Pourquoi il ne jouerait pas ? Il ressent un petit truc à la cheville, mais ça ne l’a pas empêché de s’entraîner cette semaine. Il sera dans le groupe s’il n’y a pas de soucis d’ici samedi. »


Vieira se sent-il abandonné au club actuellement ?


« Non je ne me sens pas abandonné. Il s'est passé ce qu'il s'est passé au niveau de la présidence, il faut laisser le temps au nouveau président de prendre ses marques. Des gens travaillent, je ne me sens pas seul du tout. »


L’intérêt de Lyon pour la saison prochaine


« Ces rumeurs, j'ai du mal à les comprendre. Elles sont infondées, je trouve ça limite malsain par rapport à ce que vit le club actuellement. C’est un moment difficile, je trouve que c’est déplacé vis-à-vis de ceux qui travaillent tous les jours pour construire quelque chose ici. »

 

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Le déplacement à Amiens


« On sera revanchards, avec l’envie de renouer avec la victoire. Quand on regarde bien nos trois derniers matches, ils ont été très compliqués. On a connu un match abouti contre Lyon, mais nous avons besoin de renouer avec la victoire à l'extérieur. De retrouver les valeurs, l'envie de bien faire. Amiens est mal classé, mais nous aussi on a besoin de points. »


Les absences en attaque


« La blessure de Ganago est un problème de plus. Ce manque de numéro 9 m’a contraint de le faire enchaî- ner les matches alors qu’il n’aurait peut-être pas dû. Notre rôle est de l'aider à passer ce moment difficile. Le Bihan ? Par rapport à son dernier match avec la N2, on estime qu’il a besoin d'un peu plus de temps pour faire du renforcement musculaire. »


La course à l’Europe est-elle désormais secondaire ?


« Oui, un peu. On va se concentrer sur l’idée de renouer avec la victoire, de pratiquer un bon football pour marquer des buts. On a été très moyens sur l’aspect défensif à Angers aussi, il faut s’améliorer là-dessus. Il faudra se concentrer sur comment s'organiser pour ne pas nous mettre en difficulté. »

 

 

Les déclarations d'avant-match

 

Patrick Vieira:

C’est à moi, entraîneur, d’essayer de trouver la solution pour qu’on recouvre un peu plus de rigueur sur ces phases défensives. Ça veut peut-être dire essayer de moins jouer et de se concentrer un peu plus sur les aspects défensifs.

 

Mathieu Bodmer :

On imagine que vous suivez toujours l’actualité niçoise.

Je l’ai dit au président Rivère lors de son départ, je suis forcément un peu triste par rapport à tout ce qu’il a pu faire, avec Julien Fournier. C’est quelqu’un que j’apprécie beaucoup, avec qui j’avais d’excellentes relations, il a fait beaucoup de choses pour le club. C’est une page qui se tourne. Définitivement ? Ça, je ne sais pas...

Vous comprenez que les supporters niçois puissent être inquiets ?

Je ne connais pas les actionnaires. Le nouveau président, on m’a dit que c’était quelqu’un de brillant et très compétent. Il faut lui laisser un petit peu de temps. Mais le président Rivère, c’est celui qui m’a fait venir à Nice. C’est avec lui que j’ai évolué pendant trois ans et demi, ça s’est toujours bien passé sur le terrain comme en dehors. C’est toujours compliqué de voir quelqu’un partir quand on connaît tout le travail qu’il a pu faire.

De votre passage à Nice, que retiendriez-vous ?

J’ai beaucoup de souvenirs, que ce soit sur le terrain ou en dehors. J’ai une fille qui est née à Nice, c’est donc déjà important dans ma vie familiale. J’ai passé trois ans et demi superbes, avec une qualité de vie incroyable. Avec de jeunes joueurs en devenir... Quand je vois où ils partent aujourd’hui, comme Alassane (Plea) ou d’autres, je suis content parce qu’ils le méritent. Je retiendrais aussi la qualité du jeu. Le club a grandi avec les différents coaches, que ce soit Claude Puel ou Lucien Favre après. L’identité de jeu est toujours en place avec Patrick Vieira, c’est une marque de fabrique aujourd’hui. Encore ce matin (hier matin) on a fait une séance vidéo, et ce qui marque c’est la qualité du jeu. Ça relance toujours propre. Parfois à l’excès, mais c’est ma philosophie du football. C’est que du plaisir.

 

 

 

 

Revue de presse 

 

Saint-Max is back
L'Équipe

 

L’attaquant niçois, qui avait été puni par son club pour avoir séché le déplacement à Angers, est de retour contre Amiens.

 

NICE – Une semaine après avoir refusé d’aller jouer à Angers avec l’OGC Nice, sous prétexte de maux de ventre qui n’ont pas été confirmés, le matin du départ, par le médecin du club, Allan Saint-Maximin (21 ans) devrait animer la pointe de l’attaque niçoise, ce soir à Amiens, probablement avec Pélican.


A priori, l’affaire est finie. Le joueur a été condamné à une retenue sur salaire d’environ 15 000 € pour avoir dérogé au protocole médical, qui l’obligeait à aller faire constater son état de santé au club. Il l’a acceptée et s’est rapproché de son entraîneur, dont il a aimé la clémence, hier, en conférence de presse.


Il y a huit jours, après la défaite en Anjou (3-0), Patrick Vieira l’avait désigné comme un malade imaginaire. Jeudi, ils étaient presque potes. « À Angers, peut-être que j’ai parlé de cette histoire à tort ou à raison, à vous de juger, a dit le coach. Mais il fallait que je le dise et que j’en parle. On parle de la vie du club, on s’adresse aussi aux futurs joueurs et les choses doivent être claires. » Puis au moment d'évoquer combien il est complexe de gérer un personnage comme « Saint-Max », il l’a épargné. « Il a une façon d’être et de jouer qui est différente des autres, on l’aime comme il est. C’est comme l’entraîneur, on le prend avec ses défauts et ses qualités. Chacun son caractère. Ça ne me dérange pas du tout. La société a changé, je dois m’adapter, et cela passe dans la communication de tous les jours. »

« Saint-Max » a aimé, et leurs intérêts réciproques se sont rapprochés. Car si Vieira a besoin d’un joueur, ce soir, c’est bien de lui. Balotelli n’est plus là, mais Mickaël Le Bihan (tendinite au genou) n’est pas revenu, et Myziane Maolida (ischio-jambiers) et Ignatius Ganago (quadriceps) sont indisponibles. L’ancien Monégasque est de loin le meilleur atout dont il dispose au sein de la 18e attaque de L 1 (19 buts en 25 journées). Ce qui pose une énième question : Vieira et Gauthier Ganaye, son président, auraient-ils eu la main plus lourde dans leur sanction si Ganago ou Maolida n’étaient pas disponibles ? « Absolument pas, a promis Vieira, ça n’a rien à voir. Je n’ai jamais été tenté par l’option de la mise à pied du joueur. » Après s’être amendé et allégé de quelques billets, Saint-Max va devoir retrouver l’estime de ses partenaires, dont certains ont peu goûté sa désertion. « On a tous été déçus par ce qui s’est passé, a estimé cette semaine Adrien Tameze. Nous aussi, les joueurs, avions besoin de mettre les choses à plat avec lui. Il a compris, il ne se rendait pas forcément compte de ce qu’il avait fait et de comment on pouvait le percevoir. » C’est le moment de tirer un trait sur tout cela.

 

 

 

Vous n'avez pas trop le choix!

Le corrier Picard

 


L’opération maintien passe pour l’Amiens SC par une victoire ce soir face à Nice, un adversaire à sa portée.


Après le déplacement à Marseille, qualifié de match bonus par Christophe Pelissier, l’Amiens SC reçoit Nice, dont la quatrième et dernière victoire à l’extérieur remonte au 10 novembre 2018 à Nîmes (0-1). Depuis, l’équipe niçoise a enregistré trois nuls et trois défaites en déplacement, en ayant inscrit deux buts pour onze encaissés.


Un adversaire à la portée des Amiénois ? « Je n’ai pas envie de dire ça, répond Alexis Blin. C’est une équipe magnifique, mais elle a des failles. À Angers, elle a eu 65 % de possession du ballon, mais elle a pris trois buts. » Le milieu de terrain de l’ASC rejoint l’analyse de son entraîneur : « Nice joue très bien au ballon et en matière de possession du ballon, c’est celle qui en a le plus (55 %), derrière Paris (60 %) et Lyon (58 %). Elle reste sur une large défaite à Angers (3-0), mais c’était sévère, car elle a eu beaucoup d’occasions et elle va venir avec l’intention d’être plus solide et plus consistante défensivement. À nous d’être forts physiquement et d’exercer un pressing assez important pour l’empêcher de développer son jeu. »

Christophe Pelissier s’attend à rencontrer une équipe niçoise qui va priver la sienne de ballons, avec sans doute le retour d’Allan Saint-Maximin, le meilleur buteur azuréen (6 buts). « C’est leur atout n o 1 en attaque, confirme-t-il. Ce n’est pas un avantage pour nous, mais cela fait partie du jeu et nous aussi, on a des atouts. Maintenant, on rentre dans le vif du sujet. On a su gagner face à Caen et même si Nice joue plutôt l’Europe que le maintien, on peut dire qu’elle fait partie des équipes contre lesquelles on peut légitimement lutter. On a l’occasion de prendre trois points. Il nous reste sept matches à domicile et à part Saint-Étienne qui joue le haut de tableau, toutes les autres équipes sont à notre portée, même si cela ne veut pas dire que ce seront des matches faciles. On est à la maison et sur ces sept matches, on doit défendre notre droit de rester en Ligue 1. Après, on aura peut-être des coups à faire à l’extérieur. »


L’opération maintien se poursuit et cela passe quasiment par un sans-faute à la Licorne. « Il va y avoir beaucoup de pression, mais il ne faut pas que ce soit une pression négative, prévient Serhou Guirassy. On doit s’en servir à bon escient pour faire un résultat. » La pression génère une forme d’excitation, de motivation si elle est bien gérée. Sinon, elle peut tétaniser, liquéfier n’importe quelle équipe. Il faut trouver le bon dosage, trouver les mots justes pour transcender les joueurs et faire les bons choix, tant tactiquement que dans la composition d’équipe. Face à Caen, Christophe Pelissier avait pris des risques en jouant avec deux attaquants. Il avait fait un bon coaching, payant, alors qu’à Marseille, il a voulu s’adapter à son adversaire en musclant son côté gauche tout en gardant son duo d’attaquants : Konaté-Guirassy. Et depuis deux matches, qui se sont soldés par une victoire et une défaite, son équipe évolue donc en 4-4-2.

 

Avec un effectif quasiment au complet, il n’a que l’embarras du choix, que ce soit défensivement et au milieu, où Saman Ghoddos devrait être titularisé. « Il a des qualités, mais il doit se mettre aux exigences mentales de la Ligue 1 et se faire violence dans ce domaine, estime Christophe Pelissier. Il le sait et on en a parlé. Il sait aussi que je n’étais pas trop satisfait de sa rentrée à Marseille. Lorsqu’on rentre, il faut amener du mordant, avoir du répondant et être mentalement fort. Bien sûr que tous les joueurs ont envie de commencer. Il y a un groupe et il doit accepter aussi de ne pas commencer. On en a discuté tranquillement. Il a fait une bonne semaine et on verra aujourd’hui. » À écouter son entraîneur, le milieu de terrain iranien n’a pas compris pour quelle raison il n’avait pas été titularisé à Marseille et les deux hommes en ont discuté. Tant mieux, car se priver de Ghoddos, c’est se priver d’un joueur efficace : quatre passes décisives et trois buts, dont le dernier face à Dijon (1-0), à domicile, le 6 octobre. Dijon battu 0-1 par Saint-Étienne, hier soir.