30ème journée de L1 : Dijon - Nice (Revue de presse)

 

Déplacement chez l'avant-dernier du classement qui se bat pour accrocher les barrages alors que le Gym... Retrouvez toutes les infos, remises à jour quotidiennent..

 

 

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Les stats

 

Victoire(s) Nice  : 2 - Nul(s) : 0 - Victoire(s) Nice : 1

  

Les 3 derniers Dijon FCO - OGC Nice
 
10/02/2018 Ligue 1  Dijon FCO 3 - 2 OGC Nice

04/03/2017 Ligue 1  Dijon FCO 0 - 1 OGC Nice

18/02/2012 Ligue 1  Dijon FCO 3 - 0 OGC Nice

 

 

 

 

Les news

 
 
31/03
 
Les équipes selon
 
Nice Matin
 
 
L'Equipe
 
 
 
30/03
 
Les nouvelles sont plutôt bonnes pour Benitez et Saint Maximin qui devraient être du voyage.
 
29/03
 
Sarr et Atal sont forfaits pour cette rencontre.  Saint Maximin et Benitez sont incertains.
 
Naïm Sliti (Tunisie) et Mehdi Abeid (Algérie) seront absents côté dijonnais pour cette rencontre tout comme Valentin Rosier, Nayef Aguerd et Arnold Bouka Moutou.
 
28/03
 
Myziane Maolida (entorse de la cheville) et Christophe Jallet (lésion aux adducteurs) n’ont toujours pas repris l’entraînement et restent aux soins.Gautier Lloris (fracture de fatigue aux vertèbres), Mickaël Le Bihan (tendinite au genou) et Ignatius Ganago (lésion au quadriceps) sont quant à eux en phase de reprise. NM.
 
27/03
 
Nicolas RAINVILLE arbitrera la rencontre, assisté de Laurent STIEN et Nicolas DANOS.
 
25/03
 
L’équipe de France Espoirs s’est inclinée contre le Danemark (0-1)lors d'une match amical où Malang Sarr et Allan Saint-Maximin étaient titulaires.

 

  

 

 

 L'interview

Nice Matin

 

Walter : « Je donne tout »


Arrivé au Gym en janvier 2016, Rémi Walter est presque l’un des plus anciens de l’effectif rouge et noir si on excepte les joueurs formés au club. Mais à 23 ans (il en aura 24 le 26 avril), il n’a pas encore gagné ses galons de titulaire malgré de récentes prestations plutôt abouties. Il s’accroche à cet objectif comme à celui de décrocher l’Europe en fin de saison.

 

Rémi, quel a été le programme des Aiglons pendant la trêve ?

 

On a eu d’abord quatre jours de repos après Nice - Toulouse (1-1). On a ensuite repris trois jours, dont une matinée a été consacrée à la découverte du padel à Sophia, chez Mouratoglou. Ça m’a bien plu ! C’est le coach (Patrick Vieira) qui a gagné le tournoi en double avec son adjoint, Christian Lattanzio. Mais, eux, ils connaissaient déjà, ils savaient sur quel terrain ils nous amenaient (rires). Le week-end dernier a été libre et depuis lundi on enchaîne.

 

Ce genre de trêve permet de vraiment bien se ressourcer ?

 

Oui. Personnellement, je suis retourné un peu voir la famille à Nancy et j’ai fait un petit tour à la montagne, à Isola. Pour s’aérer l’esprit, faire souffler le corps et la tête, c’est l’idéal.

 

Vous avez senti le groupe régénéré par cette coupure ?

 

Oui, tout le monde se sent bien. On a tous pris du recul sur la situation.

 

La situation justement. Décrocher l’Europe est encore accessible ou cela paraît trop difficile ?

 

(Sans hésiter). Bien sûr que c’est accessible. Même si ce sera difficile. Mais le championnat est tellement serré (Nice est 9e à 6 pts de la 4e place et 5 de la 5e, ndlr)... Si on gagne en régularité et qu’on signe une série positive, on peut vite remonter.

 

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Faut-il absolument gagner à Dijon pour y croire ?

 

Il faut gagner à Dijon pour déjà pouvoir être le plus haut possible en fin de saison.

 

Une défaite et le Gym rentrerait complètement dans le rang...

 

Non, il restera encore huit matchs. Rien ne sera encore joué même si le calendrier est un peu plus compliqué sur la fin.

 

Votre avis sur Dijon qui est très mal en point au classement (19 e ) et reste sur une série de 8 défaites et un nul ?

 

C’est une équipe installée depuis quelque temps en Ligue 1, sérieuse. Il faudra s’en méfier forcément car elle joue chez elle et se bat pour le maintien. Elle possède des joueurs d’expérience. L’erreur serait de la sous-estimer. Il faudra être très concentré.

 

Dijon s’était imposé 4-0 à l’Allianz en début de saison. Le groupe part-il avec un petit esprit de revanche ?

 

Pas vraiment. C’est un match qu’on a oublié. On avait su rebondir tout de suite après. Il ne faudra pas répéter les erreurs commises à l’aller et se montrer costaud.

 

Antoine Kombouaré, le coach de Dijon, a déclaré regretter que ses joueurs manquent de vice...

 

Il cible peut-être cet aspect car quand tu joues le maintien, il faut repartir sur les bases : l’agressivité, la détermination, l’envie. Si tu n’as pas ça, tu as beau être bon techniquement, tu ne t’en sortiras pas. J’ai eu cette expérience la saison dernière avec Troyes et c’était sur tous ces critères qu’on insistait. Mais je pense que Dijon possède ces valeurs de combat à l’image de Florent Balmont, un vrai guerrier.

 

Personnellement, vous jouez un peu plus en cette deuxième partie de saison et avez marqué des buts importants sur penalties. Toutefois, vous vous retrouvez encore souvent sur le banc. Comment vivez-vous cette situation ?

 

Je me dis simplement que ce sont les choix du coach. Je donne tout, tous les jours, à 200 % pour gagner ma place. Après, le coach a des choix à faire, il les fait en son âme et conscience et je les accepte. Parfois, c’est dur, oui. Frustrant. Car quand on est un compétiteur, on a envie de jouer tous les matchs. Mais il faut s’adapter à la situation et je sais m’adapter.

 

Le coach vous explique-t-il ses choix ?

 

Non, pas spécialement. Mais ce n’est pas ça l’important. Moi, j’avance et je travaille.

 

Il vous reste un an de contrat. Envisagez-vous un départ à l’intersaison ?

 

Pour le moment, je n’en suis pas là. Je ne suis pas dans une optique de départ. Il reste encore deux mois de compétition. Le plus important pour moi c’est d’avoir un maximum de temps de jeu à mon poste. Beaucoup ont dit que j’étais parti à Troyes en prêt la saison passée parce que je ne jouais pas. Mais ce n’était pas pour ça. Avec coach Favre, je jouais mais milieu droit. Je n’avais pas les automatismes. Je voulais jouer à mon poste de milieu axial en 6 ou 8. C’est en ayant du temps de jeu à mon poste que je pourrai franchir un palier et gagner en confiance.

 

 

Les déclarations d'avant-match

 

Wilan Cyprien :

Malgré leur classement, ils ont de très bons joueurs. Mais à vouloir trop jouer par moments, ils ont été punis par le passé. Ils nous connaissent, savent comment on évolue, ne nous donneront rien. Ils ont cruellement besoin de points. On va essayer de les mettre vite en difficulté car on sait que mentalement, à cause de leurs mauvais résultats, ils pourraient rapidement lâcher.

 

Antoine Kombouaré :

J’ai de bons mecs, qui bossent bien, dans un super état d’esprit. J’aimerais qu’ils soient plus tueurs, plus malins, plus méchants. Qu’ils montrent plus de vice. Parfois, ça m’énerve tellement que j’ai envie d’en prendre un pour taper sur l’autre. À mon époque, quand il fallait se dire les choses, on le faisait. Ici, je n’ai jamais vu un clash, une engueulade… Il faut être capable de se dire les vérités. On s’en sortira surtout par le mental, car les qualités techniques, elles sont là…

 

Revue de presse 

 

L’attaque fantôme

L'Equipe

Vaincu lors de ses quatre derniers déplacements, le Gym ne peut pas vraiment aborder son voyage à Dijon en cultivant une grande confiance. La trêve internationale n’a pas aidé les Niçois, puisque le latéral droit algérien Youcef Atal et le défenseur international Espoirs français Malang Sarr sont revenus blessés de sélection. Benitez était aussi incertain mais il a finalement été intégré dans le groupe de dix-neuf joueurs qui compte trois gardiens pour pallier ce doute. Allan Saint-Maximin n’y figure pas car il est aussi blessé, et sans lui, le secteur offensif niçois ressemble à un désert. Assil Jaziri (19 ans) a donc été appelé pour la première fois afin de le repeupler, et il accompagnera d’autres jeunes, Sylvestre et Pelmard.

Kombouaré mise sur le mental

L' Équipe

 

Incapable de gagner en L 1 depuis le 26 janvier, Dijon, désormais relégable, va devoir prouver qu’il dispose des ressources pour continuer à espérer.

 

DIJON – Les supporters dijonnais sont des gens rationnels. D’ici à la 34e journée et un déplacement à Caen, aujourd’hui dernier de la Ligue 1, le DFCO va accueillir Nice cet après-midi, Amiens (13 avril) et Rennes (20 avril), avec entretemps un déplacement à Lyon samedi prochain. Les suiveurs du club bourguignon ont fait leurs petits calculs : pour entretenir l’espoir de rester en L 1, ils misent sur trois victoires à domicile lors des trois prochaines réceptions, soit autant que depuis le début de la saison.

Sur le papier, la mission s’annonce difficile pour une équipe qui reste sur un bilan déprimant – un nul, sept défaites – depuis le succès face à Monaco (2-0, le 26 janvier). « C’est compliqué au niveau des résultats, mais nous avons souvent perdu par un seul but d’écart, alors qu’on jouait parfois bien », nuance le coach, Antoine Kombouaré.

Aujourd’hui, même le plus romantique des supporters du DFCO signerait tout de suite pour un maintien, même en proposant un jeu moins alléchant. Car ces deux derniers mois, le DFCO n’a pas transporté les foules, même s’il a parfois prouvé qu’il n’avait pas tout perdu de ce qui avait fait sa réputation.

 

« Aujourd’hui, on va beaucoup moins parler de tactique et de technique que de mental. Les meilleurs joueront. Je n’ai plus d’états d’âme », prévient le technicien dijonnais. « Cela fait un moment que nous sommes dos au mur. Il faudrait peut-être moins réfléchir », propose Romain Amalfitano. Interrogé sur les déclarations de son entraîneur (L’Équipe du 21 mars), où ce dernier évoquait « parfois son envie de prendre un joueur pour taper sur l’autre », le milieu de terrain n’a pas semblé choqué.

 

« Je comprends ce qu’il doit ressentir, car moi aussi j’ai les boules. Il y a des expressions plus fortes que les autres qui marquent les esprits. » Kombouaré, qui n’avait pas besoin de cela, a récupéré deux blessés, Naïm Sliti (ischio) et Mehdi Abeid (quadriceps), après la trêve internationale, ce qui l’a beaucoup contrarié. « Je leur avais demandé de s’aérer la tête mais aussi de faire attention. Je suis en colère et nous avons eu une discussion, mais il faudra faire sans eux. Je ne vais pas me plaindre ni chercher d’excuses. Maintenant, c’est à ceux qui ont peu joué ces derniers temps de se montrer. Sammaritano, Kwon, Kaba peuvent sortir du bois. »Transmis aux intéressés…