Les matches de fin de saison, sans enjeu, se poursuivent pour les deux équipes... Retrouvez toutes les infos, remises à jour quotidiennent..
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Victoire(s) PSG : 16 - Nul(s) :10 - Victoire(s) OGC Nice : 8
Les 10 derniers Paris Saint-Germain - OGC Nice
27/10/2017 Ligue 1 Paris Saint-Germain 3 - 0 OGC Nice
11/12/2016 Ligue 1 Paris Saint-Germain 2 - 2 OGC Nice
02/04/2016 Ligue 1 Paris Saint-Germain 4 - 1 OGC Nice
29/11/2014 Ligue 1 Paris Saint-Germain 1 - 0 OGC Nice
09/11/2013 Ligue 1 Paris Saint-Germain 3 - 1 OGC Nice
21/04/2013 Ligue 1 Paris Saint-Germain 3 - 0 OGC Nice
21/09/2011 Ligue 1 Paris Saint-Germain 2 - 1 OGC Nice
03/10/2010 Ligue 1 Paris Saint-Germain 0 - 0 OGC Nice
07/11/2009 Ligue 1 Paris Saint-Germain 0 - 1 OGC Nice
05/04/2009 Ligue 1 Paris Saint-Germain 2 - 1 OGC Nice
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L'interview
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Les déclarations d'avant-match
Thomas Tuchel :
On a beaucoup récupéré ces derniers jours, parce que nous avons joué 120 minutes samedi, puis 90 mardi à Montpellier, les joueurs sont un peu fatigués. Aujourd'hui, nous allons nous concentrer sur le fait de retrouver du plaisir avec le ballon, et préparer cette rencontre face à Nice. On s'attend à un match difficile bien sûr, c'est une équipe qui a de la personnalité, avec des joueurs comme Dante par exemple, et beaucoup de talent individuel, avec Saint-Maximin ou encore Atal. C'est une équipe qui joue de manière fluide et offensive, avec un très bon football. C'est notre défi demain.
Patrick Vieira :
De toute façon, on n’a rien à perdre. On sait que pour l’Europe ce sera très compliqué mais ça fait partie de notre métier d’y croire et de tout donner. Nous allons nous fixer des objectifs pour finir le plus haut possible au classement. Site off.
Malang Sarr :
On ne va rien lâcher et continuer à y croire dur comme fer. Des matchs comme celui-là devront nous servir de tremplin pour la fin de saison. Nous devrons être encore plus costauds et engranger des victoires jusqu’à la fin. Site off
Marquinhos :
On doit changer notre mentalité dès le prochain match. Jusque-là, on avait vécu des moments difficiles, mais on s’en était toujours sorti. On avait relevé la tête, on avait apporté une réponse. Cela fait un moment que l’on ne montre pas un bon visage. C’est seulement si on est ensemble que l’on peut s’en sortir. Il n’y a pas d’autres options. On ne peut pas laisser passer le temps. On ne peut pas faire quatre matches de merde. Que va-t-il se passer sinon ? On est le PSG, on est le champion, on doit montrer un bon visage. On doit prendre du plaisir et donner de la joie aux gens.
Thomas Tuchel :
Il faut se battre pour jouer. Cela nous manque, il y a des raisons. Ce n'est pas seulement la faute des joueurs, il y a des raisons. On a besoin de joueurs habitués à jouer 50 matchs par saison, à surmonter des obstacles, à tout donner de façon égale quel que soit l'adversaire. Il nous faut ce type de joueurs.
Revue de presse
Atal, l’attrait continental
L’Équipe
Il y a un an, lorsqu’il a signé à Nice dans l’anonymat général, en provenance de Courtrai (D 1 belge), les dirigeants du Gym l’avaient arraché pour 3 M€ à la concurrence d’Angers, de Guimaraes et du Cercle Bruges. Aujourd’hui, le pedigree des clubs intéressés n’a plus rien à voir : le Séville FC s’est renseigné dès le mois de décembre, lorsque la générosité, la vitesse, le sens du but et de la passe de Youcef Atal (22 ans) ont commencé à éblouir la Ligue 1. Le Bayern Munich, Chelsea et surtout l’Atlético de Madrid sont aujourd’hui intéressés, et les deux pistes les plus chaudes mènent en Italie, où deux clubs (dont l’Inter Milan ?) ont récemment reçu les représentants de la société Grinta, qui gère les intérêts de l’arrière droit.
Auteur de trois buts splendides, dimanche dernier contre Guingamp (3-0), Youcef Atal n’est pas seulement le meilleur buteur du Gym, avec Allan Saint-Maximim (voir par ailleurs). Il en est l’une des principales valeurs marchandes, avec l’ancien Bastiais ou Malang Sarr. Les dirigeants niçois savent qu’ils détiennent un joueur rare, ils n’ignorent pas l’intérêt qu’il suscite et ils ont déjà affiché la couleur. « On n’est pas vendeurs, point final », a tranché Patrick Vieira, l’entraîneur du Gym, avant-hier. « Certains joueurs sont in-transférables, comme Hérelle ou Atal », avait déclaré Gilles Grimandi, le directeur technique du club, récemment, dans ces colonnes.
Et l’intéressé, dans tout cela ? Discret, appliqué, content de sa situation et de ses progrès, à Nice, l’Algérien ne commente pas l’agitation qui monte autour de lui. Après son triplé contre Guingamp, il s’est contenté d’affirmer qu’il préférait jouer arrière droit, alors qu’il multiplie les changements de poste, en cette fin de saison, pour pallier les limites de l’effectif niçois. Profitant des progrès de Patrick Burner au poste d’arrière droit, Vieira l’a souvent fait jouer en position de milieu offensif droit et même d’ailier gauche. Avec une grande réussite, mais le joueur se sent desservi pas ces changements de poste.
Pour son avenir en équipe nationale (7 matches, 1 but), où la concurrence est rude, comme pour son avenir en club, il aimerait être fixé au poste d’arrière droit. « Il préfère jouer plus bas pour être face au jeu, disait jeudi Vieira. Le jeu purement défensif fait partie de ce qu’il doit améliorer, mais quand il est arrière droit, on l’inscrit dans l’équilibre de l’équipe. Si on met Danilo dans sa zone et Hérelle à côté de lui, qui est très bon défensivement, ça lui permet d’être plus offensif.»
Sa revalorisation devrait être examinée après les dossiers Benitez et Sarr
Sa limite, à ce jour, est d’avoir plutôt déçu dans les grands matches du Gym et la question de sa régularité se pose naturellement car il reste un joueur neuf au haut niveau (25 matches de L 1, 10 en D 1 belge). Sous contrat avec le Gym jusqu’en 2023, Atal est loin de figurer parmi les plus gros salaires de l’effectif (autour de 30 000 € par mois). Accaparée par les dossiers des prolongations de contrat de Walter Benitez et de Malang Sarr, auxquels il ne reste plus qu’un an à Nice (2020), la direction du Gym devrait ensuite se pencher sur son cas, afin d’ajuster son traitement à son nouveau statut.
Peuvent-ils faire pire ?
Le Parisien
Ligue 1 Le PSG dispute son troisième match de la semaine, le premier à domicile depuis la perte de la finale de la Coupe de France. Le public gronde.
C’est une statistique de candidat à la relégation : le PSG n’a remporté qu’un seul de ses six derniers matchs, contre Monaco, pour trois défaites (Lille, Nantes, Montpellier) et deux nuls (Strasbourg, Rennes avant la séance de tirs au but). Aujourd’hui, c’est Nice, et il y a des risques que rien ne change.
Un public remonté
Insultes, banderoles assassines, fumigènes : il est possible que les supporteurs les plus radicaux laissent éclater une forme d’exaspération cet après-midi avant et pendant la rencontre.
Alexandre, 42 ans, abonné à Auteuil, gestionnaire du compte Instagram Parisdanslapeau, n’ira pas dans ces extrêmes mais confie un sentiment largement partagé : « A titre individuel, je vais chanter. Je comprends les joueurs parce qu’il n’y a plus d’objectif. Mais ce que je ne supporte pas, c’est qu’ils ne mouillent pas le maillot et qu’ils ne soient pas concentrés. L’erreur de Paredes à Montpellier m’énerve. En fait, je suis plus désabusé qu’énervé depuis Manchester. Ce match nous a tués ! » « Je ne sais pas si ça nous aide », a répondu Tuchel à l’évocation de cette colère du peuple de Paris.
Encore des absences majeures
Aux forfaits de Thiago Silva et Thomas Meunier, il faut ajouter l’indisponibilité qui dure de Kehrer, blessé contre Monaco le 21 avril. Kimpembe, en conséquence, est obligé d’enchaîner, avec un joli palmarès cette semaine : deux matchs, deux buts contre son camp. C’est le moment d’éviter le triplé.
Tuchel l’a dit sans aucune méchanceté et avec un tact infini, mais il a quand même lancé un Scud monumental à son défenseur hier : « Il doit améliorer sa concentration sur quatre-vingt-dix minutes et tous les trois jours. Nous ne sommes pas en colère. Ce sont des détails. On travaille ensemble. »
Cavani – pour qui les dernières tendances sont optimistes – et Kurzawa ne lèveront les derniers doutes que ce matin, avant 11 heures, au moment où Tuchel dévoilera son onze au groupe. Mbappé purge le 2 e de ses trois matchs de suspension infligés par la commission de discipline de la FFF.
Une motivation incertaine
Les corps ont lâché depuis Manchester, avec une hécatombe dans l’effectif mais surtout dans les têtes. Et maintenant que l’objectif Coupe de France est à l’eau, rien ne poussera les Parisiens à se transcender lors des quatre dernières sorties au programme : Nice aujourd’hui, puis Angers, la réception de Dijon avec l’Hexagoal et l’adieu à Reims. Et Mbappé, chasseur de buts et de records, ne sera pas là pour tirer les autres et les encourager à produire un jeu cohérent.
Tuchel l’admet : sa troupe marche sur courant alternatif. « Nous ne sommes pas à 100 %, avec la même concentration que lorsque le championnat n’était pas décidé. C’est une phase bizarre. » Et comme il s’agit du troisième match de la semaine, avec certains éléments éprouvés — de retour d’une longue blessure, Neymar prendrait un risque en commençant un troisième match en huit jours —, la dimension athlétique comptera face à un Nice qui veut briller au Parc.