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Les stats

 

Victoire(s) Rennes : 24 - Nul(s) : 13  - Victoire(s) OGC Nice : 10

 

  

Les 10 derniers Stade Rennais FC - OGC Nice

 

14/04/2019 Ligue 1 Stade Rennais FC 0 - 0 OGC Nice


17/09/2017 Ligue 1 Stade Rennais FC 0 - 1 OGC Nice


12/02/2017 Ligue 1 Stade Rennais FC 2 - 2 OGC Nice


18/10/2015 Ligue 1 Stade Rennais FC 1 - 4 OGC Nice


25/04/2015 Ligue 1 Stade Rennais FC 2 - 1 OGC Nice


11/01/2014 Ligue 1 Stade Rennais FC 0 - 0 OGC Nice


05/05/2013 Ligue 1 Stade Rennais FC 0 - 3 OGC Nice


16/04/2012 Ligue 1 Stade Rennais FC 3 - 1 OGC Nice


13/02/2011 Ligue 1 Stade Rennais FC 2 - 0 OGC Nice


08/05/2010 Ligue 1 Stade Rennais FC 2 - 2 OGC Nice

 

 

 

 

 

Les news

  
  
01/09
 
Les équipes selon
 
Nice Matin
 
L'Equipe
 
 
 
 
30/08
 
Dante s'est blessé à la cheville contre Marseille et il sera absent pour les deux prochains mois .
 
Johan Hamel arbitrera la rencontre, assisté de Stephen Pignatelli et Mathieu Grosbost.
 

Les déclarations d'avant-match 

Wylan Cyprien :

Nous n'avons pas le temps de nous apitoyer sur notre sort parce que le match est dans seulement 4 jours. Les Rennais réalisent un départ canon.

 

 

 

Revue de presse  

L’homme qui menace le PSG

JDD


Nouveau propriétaire de l’OGC Nice, le milliardaire anglais Jim Ratcliffe cultive la discrétion COULISSES Huit mois dans les arcanes du rachat qui peut bouleverser la hiérarchie de la Ligue 1Ni yacht ni palace. Lorsque Jim Ratcliffe rencontre Jean-Pierre Rivère et Julien Fournier en mars, près de son domicile en principauté de Monaco, c’est dans un café décrit par un participant comme « tout ce qu’il y a de plus simple », à considérer que cela existe dans ce confetti saturé d’ultrariches. Cet ingénieur de 66 ans pèse 10 milliards d’euros grâce au succès d’Ineos, l’entreprise pétrochimique qu’il a créée en 1998. Il est l’homme le plus riche de Grande-Bretagne mais cultive la discrétion. Et la passion du foot. Quelques mois plus tôt, Rivère a écrit un e-mail à son frère, Bob, président du club suisse Lausanne-Sport depuis 2017. Dès leur première rencontre à Londres, l’ancien président de l’OGC Nice le trouve « direct et abordable, très structuré ». Pendant deux heures, l’industriel sans chichi partage sa vision et ses attentes. L’ancien président et son directeur général se sentent « parfaitement alignés ». Un groupe WhatsApp est créé pour fluidifier la communication du quatuor pendant les huit mois du processus de rachat.

« Mon frère sera un bon propriétaire, très concerné car il adore le foot, énonce Bob Ratcliffe, nommé président du conseil de surveillance (où siégera aussi Bill Reid, chargé des acquisitions chez Ineos). Il veut être informé de chaque transfert, car c’est ce qui passionne le plus les supporters. Il vient à Nice pour construire du solide. » Voilà pour la feuille de route du patron. « Il supervise tout à distance », résume Rivère, qui s’attend à ne pas rencontrer souvent l’investisseur. Comme entre 2011 et le 11 janvier dernier, date où ils ont lâché les actionnaires sino-américains, le club sera géré au quotidien par Rivère et Fournier.

Un air de RLD


Ratcliffe n’a sans doute pas que des intentions désintéressées avec ses investissements dans le sport, mais il en est fan. Julien Fournier s’en est aperçu en mai, lors d’une visite dans les locaux d’Ineos, devenu un mastodonte comptant 20000 employés. L’ancien DG et nouveau directeur du football niçois voit des photos de sport sur les murs d’un étage entier: du foot et du cyclisme, quelques jours après avoir racheté la meilleure équipe du monde (Sky), de la boxe et de la voile (Ineos Team UK vise une participation à la Coupe de l’America en 2021)… Lors de cette seconde entrevue, la décontraction de Ratcliffe lui évoque Robert Louis-Dreyfus, propriétaire de l’Olympique de Marseille à l’époque où Fournier travaillait aux côtés de Pape Diouf. Le numéro 2 niçois rencontre aussi les deux autres actionnaires d’Ineos : Andrew Currie et John Reece, 3,3 milliards d’euros de patrimoine chacun, d’après Forbes.

Un témoin assure que la question de l’argent a vite été évacuée. D’après nos informations, Fournier n’est pas venu les mains vides : il présente une liste de joueurs à vendre obligatoirement dès qu’une offre atteint un montant prédéfini d’un commun accord par les dirigeants actuels et ceux qui vont leur succéder. Tous les prix seront dépassés, sauf un : Allan Saint-Maximin sera cédé dans l’urgence à Newcastle pour 18 millions d’euros. Côté investissements, Fournier propose deux chiffres, des fourchettes haute et basse pour se renforcer au mercato d’été. Sa stratégie est validée par le triumvirat de milliardaires : pour viser une qualification régulière en Ligue des champions d’ici trois à cinq ans, le club continuera de recruter des jeunes à fort potentiel, avec des moyens supérieurs, certes, mais aussi la volonté affirmée de ne pas surpayer.

Ratcliffe est aussi pragmatique qu’il est riche (et soucieux d’optimisation fiscale). À l’inverse de Frank McCourt, qui avait chiffré son investissement à 200 millions dès son arrivée à l’OM en 2016, la communication anglo-niçoise fait attention à n’en citer aucun. À l’échelle française, la puissance d’Ineos (80 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2017) constitue une menace inédite pour le PSG. « Nous visons l’excellence dans tous les domaines pour contribuer à mettre en lumière la Ligue 1 », contourne habilement Bob Ratcliffe. Se placer en concurrence frontale avec l’étendard du Qatar serait « un non-sens économique », souffle-t-on au club.


Accaparé par son agenda de ministre, Jim Ratcliffe a délégué les aspects techniques du rachat à son frère. Celui-ci l’informe des avancées et des coups de frein, comme celui donné en juillet par Paul Conway, actionnaire minoritaire désireux de s’en aller avec les poches mieux remplies que prévu. Ce contretemps réglé, et dans l’attente du feu vert de l’Autorité de la concurrence, Ratcliffe vient en voisin visiter les belles installations niçoises, peu après la reprise de l’entraînement. Il partage un café avec Patrick Vieira, enfin rassuré après des vacances à cogiter sur les moyens à sa disposition. Ensemble, ils refont les duels musclés entre le champion du monde 98 et Roy Keane, le capitaine teigneux du Manchester United d’alors, qu’il adore.

L’Anglais se montre encore une fois sur la promenade, quelques jours avant le closing, étape finale du rachat. Au menu, une réunion sur le mercato à mener en dix jours seulement. Fournier et Vieira avaient balisé le terrain en amont. Bon connaisseur de la Premier League, intéressé un temps par le rachat de Chelsea, celui qui a été anobli en 2018, mais que personne n’appelle sir, connaissait-il Kasper Dolberg, l’attaquant danois de l’Ajax, qui vient de lui coûter ses 20 premiers millions ? « Je crois qu’il l’aime bien », sourit malicieusement une source du premier cercle.

Le nom de Ratcliffe est partout, son visage nulle part. Mercredi, la nouvelle ère a commencé sans lui, face à l’OM (1-2). Ses fils George et Sam ont reçu l’accueil chaleureux et les projecteurs de l’Allianz Riviera, écharpes rouge et noir autour du cou. En déplacement, Jim Ratcliffe a regardé le match à la télévision. Cet été, il avait fait un saut sur une étape du Tour de France, afin de rendre visite à Dave Brailsford et son équipe Ineos, sans l’annoncer ni en faire la promotion. Bob Ratcliffe admet d’ailleurs qu’il ignore la date du premier match à domicile auquel son frère aura le temps d’assister.