C'est la seconde reception d'affilée à l'Allianz Riviera, le Gym arrivera-t-il à confirmer sa victoire face à Reims?... Retrouvez toutes les infos, remises à jour quotidiennent..
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Victoire(s) OGC Nice : 24 - Nul(s) : 8 - Victoire(s) Girondins de Bordeaux: 13
Les 10 derniers OGC Nice - Girondins de Bordeaux
12/01/2019 Ligue 1 OGC Nice 1 - 0 Girondins de Bordeaux
17/12/2017 Ligue 1 OGC Nice 1 - 0 Girondins de Bordeaux
02/04/2017 Ligue 1 OGC Nice 2 - 1 Girondins de Bordeaux
23/09/2015 Ligue 1 OGC Nice 6 - 1 Girondins de Bordeaux
23/08/2014 Ligue 1 OGC Nice 1 - 3 Girondins de Bordeaux
03/11/2013 Ligue 1 OGC Nice 1 - 2 Girondins de Bordeaux
27/01/2013 Ligue 1 OGC Nice 0 - 1 Girondins de Bordeaux
15/10/2011 Ligue 1 OGC Nice 3 - 0 Girondins de Bordeaux
12/09/2010 Ligue 1 OGC Nice 2 - 1 Girondins de Bordeaux
05/05/2010 Ligue 1 OGC Nice 1 - 1 Girondins de Bordeaux
Alexis Claude-Maurice est forfait pour la réception de Bordeaux, vendredi (20h45)...
Il a ressenti une petite douleur à un mollet après le match contre Reims. Il sera malheureusement éloigné des terrains pendant au moins deux semaines. Christophe Hérelle (sorti pour une douleur derrière une cuisse) ? Il n'y a pas de problème pour qu'il soit dans le groupe pour Bordeaux.
Après votre victoire face à Reims (2-0), l'objectif sera d'enchaîner...
Il faut continuer à progresser. Sur le match contre Reims, il y a eu des choses qu'on a améliorées. Il faut se rendre compte de notre situation : on était dans une situation très compliquée où on avait besoin de gagner, on avait besoin de prendre de la confiance. Sur ce match-là, l'état d'esprit et le collectif, ça a très bien fonctionné. Après, il faudra beaucoup plus pour être régulier et enchaîner les victoires. Il faudra beaucoup mieux jouer, être plus dangereux et être plus solide défensivement pour enchaîner les victoires.
Faudra-t-il mieux entrer dans le match contre Bordeaux ?
Oui, le premier quart d'heure a été très compliqué dimanche dernier. Ce n'était pas un problème technique ou tactique. C'était un moment de fébrilité. En enchaînant les bonnes passes, l'équipe a gagné en confiance. Cette victoire va nous faire beaucoup de bien.
Après les sifflets, redoutez-vous une certaine animosité du public ?
Non, pas du tout. On ne peut pas contrôler ce qui se passe dans les tribunes. Peut-être indirectement par rapport aux performances qu'on peut faire sur le terrain. Mais ce qui est sûr, c'est qu'on est conscient qu'on peut mieux faire et qu'on doit mieux faire.
Vous avez connu un début de Championnat difficile mais vous êtes toujours à trois points du podium...
C'est pour ça que vous ne m'avez jamais entendu parler de crise. Le Championnat fait que si on gagne trois matches, on est en haut du tableau. Il faut rester constant et ne pas paniquer en cas de mauvaise série. Le Championnat est très serré. Tout le monde peut espérer finir dans le haut du tableau.
Les déclarations d'avant-match
Dante :
C’est avant la trêve, c’est important. Bordeaux a 2 points de plus que nous, avec une victoire, on peut les dépasser. C’est très important de garder cet état d’esprit, de continuer à vouloir jouer, à aller de l’avant, à mettre de l’agressivité, à se battre les uns pour les autres. On doit garder ça pour recréer de la stabilité pour le reste de la saison. Le classement ? Tout peut aller très vite. Avant la trêve, on peut « être bien placé ». Mais encore une fois, ma priorité, c’est de conserver le bon état d’esprit.
Nicolas de Préville :
J’espère que le match contre Nice sera ouvert et qu’on puisse avoir des espaces. Je vois ce match comme 3 points à aller prendre. Ce championnat est très serré et faire une série de victoires ça peut nous permettre d’envisager de belles choses. On reste après lucide sur ce qu’on fait. On peut mieux faire, je pense qu’il y a des prétendants pour les places qui sont très hautes. Pourquoi pas nous avec une série pour se hisser en haut du tableau et puis voir après la suite de la saison.
Malang Sarr :
Je n'étais pas à mon top. Je ne vais pas me cacher derrière ça mais c'était ma première grosse blessure (lombalgie). J'ai voulu reprendre trop tôt et je n'étais pas forcément à 100 %. Là, le but est de me retrouver physiquement et mentalement afin d'aider l'équipe. Les critiques étaient fondées. Le club a commencé à parler avec mon agent. Il faut qu'ils s'entendent pour trouver les meilleurs solutions. Le club devient encore plus ambitieux qu'il ne l'était et il a les moyens de faire de grandes choses. C'est un projet qui est alléchant et qui donne envie d'y participer... Pour Bordeaux, l'état d'esprit n'a pas changé, reconquérir le public passera par de bonnes performances et des victoires. On est focus pour être au top ce week-end et faire le match que l’on attend de nous. Cette victoire contre Reims nous a permis de souffler. Il faut répéter ça pour que ce soit une belle fête à la fin du match vendredi.On sort d'une situation compliquée, on ne fait pas attention au classement. On pense à Bordeaux et à faire un bon match. On peut se retrouver après deux victoires en haut, et après deux contre-performances tout en bas. On se bat pour être le meilleur possible le week-end.
Revue de presse
Nissards en colère
L’Équipe
Pointant le comportement de leur équipe, les ultras niçois ont surpris en la sifflant dimanche. Malgré la victoire du Gym contre Reims.
NICE – Des supporters qui sifflent leur équipe après une victoire, vous l’aviez déjà vu ? Patrick Vieira, jamais. Mais l’entraîneur « en apprend tous les jours dans le football », comme il a pu en sourire cette semaine. Les joueurs niçois ont vécu cette insolite expérience dimanche au sortir de leur succès face à Reims (2-0). Ils sont rentrés aux vestiaires avec trois points de plus, mais sous une bronca.
Les Aiglons ont gagné une rencontre sans panache, après une heure passée en supériorité numérique. Or les ultras de la tribune Populaire Sud, le principal groupe de supporters niçois, avaient prévenu dans la semaine, via un communiqué, que leur patience « avait atteint sa limite ». Après plusieurs sorties insipides de leur équipe, il leur en fallait plus : plus d’intensité, plus d’agressivité. « Par rapport à notre état actuel, au niveau de l’investissement, du sérieux, de la concentration, l’équipe a été très intéressante, note pourtant Vieira. Après, ce n’est pas suffisant par rapport au jeu qu’on veut produire. Il faudra faire beaucoup plus lors des prochains matches. »
Avant les actes sur le terrain, le club avait tenté un apaisement en réunissant les représentants des ultras, Patrick Vieira, Jean-Pierre Rivère, le président de l’OGCN, et Julien Fournier, son directeur du football. « Un club, c’est une famille avec plein de composantes, explique Fournier. Dans des moments un peu difficiles (Nice restait sur 5 défaites en 6 matches), c’est important qu’on se dise les choses. Les ultras font vivre notre stade. Parfois, chez nos élites bien-pen- santes – qu’elles soient politiques ou dans les instances du football –, je sens une forme de mépris vis-à-vis de ce qu’elles peuvent considérer comme une sous-catégorie de supporters. Je me suis toujours battu contre ça. Un club qui a des supporters présents, forts, c’est un avantage. Après, il y a des inconvénients, c’est comme dans tout. Les ultras ont leur manière à eux de manifester leur joie comme leur énervement. »
Dimanche, c’était donc l’énervement. « Le groupe a été touché. Moi aussi, j’ai été touché », reconnaît Vieira. L’entraîneur ne perçoit pas ces sifflets comme un avertissement pour la réception de Bordeaux, ce soir. « On n’a pas à craindre le public, balaie le technicien. C’est à nous de faire ce qu’il faut pour l’amener derrière l’équipe. » Et pas seulement en gagnant.
Nice repasse en mode Ineos
L'Equipe
Avec les retours de ses recrues Adam Ounas, Stanley Nsoki et Kasper Dolberg, Patrick Vieira dispose à nouveau d’un effectif plus riche.
Que son équipe gagne ou perde, c’est avec le sourire que Bob Ratcliffe quitte l’Allianz Riviera après les matches. Mais dimanche, quand il a traversé la zone mixte entre deux joueurs répondant aux journalistes, le président d’Ineos Football avait une raison de repartir léger du stade niçois : son équipe avait arraché une victoire, face à Reims (2-0), sa première depuis un mois et demi.
Le Gym n’était pas en crise – parce que « le Championnat est très serré », rappelle Patrick Vieira – mais il n’en était pas loin après son mois d’octobre à quatre défaites. « Le classement fait que si on gagne trois matches, on est en haut du tableau », souligne aussi l’entraîneur niçois.
Il faudra commencer par un deuxième succès, forcément attendu par les supporters (voir page 7), d’autant que les Aiglons, aujourd’hui 13es de L1 à 3 points du podium, se sont remplumés. Après plus de cinq semaines d’absence, Stanley Nsoki (abdominaux) et Adam Ounas (genou) ont repris l’entraînement collectif cette semaine.
Le premier est en balance avec Malang Sarr pour le poste de latéral gauche ; le second devrait être titularisé sur une aile. Nice retrouvera aussi sa tête de gondole : Kasper Dolberg débutera après s’être débarrassé de ses problèmes au dos qui l’ont handicapé une quinzaine de jours. « Ils ont une certaine expérience du haut niveau, note leur entraîneur. Les avoir sur le terrain enlèvera peut-être un peu de pression à d’autres joueurs. »
C’était quasiment le Nice de la saison dernière que Vieira avait à sa disposition depuis trois matches. Avec ces trois renforts, l’effectif porte davantage la marque d’Ineos. Seul Alexis Claude-Maurice (21 ans) incarnait la nouveauté, mais il représentait aussi le manque de confiance d’un groupe très jeune. Il sera l’unique forfait ce soir : l’ancien Lorientais souffre d’une lésion à un mollet diagnostiquée après le match contre Reims, qu’il a pourtant terminé. Vieira attendra encore pour aligner son équipe-type.
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