1ère journée de L1 : Nice - Lens (les dernières news + les groupes)

  

 

 

Le groupe niçois : Benitez, Cardinale - Bambu, Burner, Dante, Daniliuc, Kamara, Lotomba, Pelmard - Lees-Melou, Schneiderlin, Trouillet, Sylvestre, Thuram, Claude-Maurice - Dolberg, Guessand, Gouiri, Lopes, Ndoye.

 

Le groupe lensois : Leca, Farinez - Sylla, Badé, Diallo, Michelin, Medina, Fortes, Gradit, Boura - Perez, Kakuta, Cahuzac, Mauricio, Doucouré - Sotoca, Banza, Jean, Ganago, Robail.

 

Selon nos informations Atal (blessé aux ischios) ne sera pas présent demain contre Lens et devrait être absent pour les 3 prochaines rencontres

 

Nsoki et Brazao sont les joueurs touchés par le Covid-19.

 

 

Deux cas positifs au Covid-19 ont été détectés dans l’effectif professionnel de l’OGC Nice (Ligue 1), a annoncé vendredi l’entraîneur, Patrick Vieira, lors du point presse à deux jours de la reprise contre le RC Lens, dimanche 23 août (match à huis clos).« Ces deux joueurs ont été testés positifs lors du test réalisé jeudi. Ils sont à l’isolement et sont en communication permanente avec le docteur du club », a expliqué le technicien niçois. Les deux joueurs, dont l’identité n’a pas été révélée, n’ont évidemment pas participé à la séance d’entraînement de vendredi. Un joueur du RC Lens a également été testé positif apprend-on ce vendredi midi en conférence de presse du Racing. Cette fois, le nom du joueur a été dévoilé, par le club, Jonathan Clauss. Il a été placé à l’isolement a annoncé l’entraîneur Franck Haise. La voix du nord

 

 

Nous avons appris ce vendredi la présence de deux cas positifs au sein du groupe professionnel niçois...

On a effectivement deux joueurs positifs. Notre docteur est en communication avec ces joueurs-là. Ils ont été mis à l'isolement.

 

Cela compromet-il le match de dimanche (17 heures) contre Lens ?

Les deux joueurs sont positifs après les tests effectués hier (jeudi). On fera d'autres tests d'ici à demain. On attendra le résultat pour voir les étapes à suivre.

 

Êtes-vous inquiet sur la tenue du match ?

Je suis inquiet sur la tenue du match, je suis inquiet sur la suite aussi. Il faudra s'adapter, il faudra faire avec. C'est difficile de planifier, c'est difficile de s'organiser.

Reprenez-vous trop tôt le championnat ?

Non, non pas du tout. C'est normal qu'on reprenne les entraînements, qu'on reprenne la compétition. Mais dans notre région, on est beaucoup plus touchés que d'autres. Nous, les joueurs, on a la responsabilité de faire attention par rapport à nos déplacements, par rapport à notre vie en dehors du centre d'entraînement. Au club, on a tout mis en place pour éviter d'avoir le virus, mais on doit avoir cette responsabilité lorsqu'on est à la maison, lorsqu'on va voir des amis. On doit faire attention parce qu'on est dans une région plus touchée que d'autres.

 

 

Avez-vous senti ce matin à l'entraînement une différence chez vos joueurs ?

Non, je n'ai pas vu de différence, mais bien sûr qu'on en a parlé, bien sûr que les joueurs sont inquiets. Tout le monde écoute, tout le monde regarde ce qui se dit. Il y a une inquiétude qui s'installe, mais il faut faire avec.

 

Seriez-vous favorable à l'établissement d'une bulle, comme en NBA ?

Je ne sais pas. Je pense qu'il y aura beaucoup d'options, de propositions mises sur la table. Il faut voir l'évolution du virus dans les prochains mois. C'était normal qu'on reprenne les entraînements et la compétition. Avec tout ce qui se passe, avec la rapidité de l'évolution du virus, on peut se poser des questions. »

 

 

 

Les déclarations d'avant-match 

 

 

Dimanche, vous retournez à Nice, là où vous avez effectué vos premiers pas en professionnel. C'est une émotion particulière ?

 

Ignatius Ganago : forcément, ça fait toujours quelque chose (d’y retourner, ndlr). C’est mon premier club en France, c’est là où je suis devenu professionnel. C’est un club que je ne peux pas oublier et qui restera toujours dans mon cœur. Même si aujourd’hui je suis passé à autre chose, je suis dans un nouveau projet dans lequel j’ai vraiment envie de m’investir.

 

 

C'est aussi l'occasion de montrer que vous pouvez jouer en pointe.

 

IG : C'est vrai que pour moi ça va être un match très important car je n’ai pas vraiment eu la chance de pouvoir m’exprimer à mon poste à Nice et ici je pense que je vais l’avoir. Je travaille tous les jours pour retrouver les automatismes. A Nice je devais jouer sur un côté car c'est Kasper (Dolberg, ndlr) qui jouait devant. Ils l’ont acheté très cher donc il fallait qu'il joue.

 

Vous avez passé trois saisons à Nice, vous connaissez très bien l’équipe et le coach. Ça peut faire la différence ?

 

IG : oui ça peut servir. Je connait très bien mes anciens coéquipiers, ceux contre qui je vais jouer. Un peu moins (Robson) Bambu. Mais ce qui va être difficile c’est qu’eux aussi me connaissent. Ça sera un duel un peu différent, je vais essayer de montrer d’autres choses, il faut innover. Ils connaissent peut être le Ganago de Nice, pas encore celui de Lens.

 

Quel était votre relation avec Patrick Vieira ?

 

IG : c’était une très bonne relation. Il ne m’a jamais dit qu’il voulait que je parte, il m’a toujours encourager à travailler, ça se passait très bien, il me donnait beaucoup de conseils. Mais j’ai vu comment ça se passait et que je n’allais pas être le numéro un. Donc j’ai préféré partir.