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Les 10 dernières confrontations

 

31.08.22 Lille - Nice 1 - 2 Ligue 1
 
14.05.22 Nice - Lille 1 - 3 Ligue 1
 
14.08.21 Lille - Nice 0 - 4 Ligue 1
 
01.05.21 Lille - Nice 2 - 0 Ligue 1
 
25.10.20 Nice - Lille 1 - 1 Ligue 1
 
28.09.19 Nice - Lille 1 - 1 Ligue 1
 
01.02.19 Lille - Nice 4 - 0 Ligue 1
 
25.11.18 Nice - Lille 2 - 0 Ligue 1
 
02.03.18 Nice - Lille 2 - 1 Ligue 1
 
20.12.17 Lille - Nice 1 - 1 Ligue 1
 

 

 

 

 

Les news

24/01

 

Eric Wattellier arbitrera la rencontre, assisté par Philippe Jeanne et Erwan Finjean.

 

Des places seront à gagner sur le site dans la journée.

 

 

Les interviews

 

 

Avec trois matches à venir face à Lille, Lens et Marseille, cela vous fait un enchaînement intense à négocier...

Oui, ça va être trois gros matches. Ce sont des adversaires qui mettent en place de très belles choses, qui sont bien classées et sont sur de bonnes dynamiques. On va essayer de gérer du mieux possible cette grosse semaine avec des charges de travail importantes, et profiter pleinement de l'effectif qui est aujourd'hui au complet.


C'est sur l'intensité que vous voulez voir l'équipe franchir un cap ?


Oui, mais pas que. L'idée, c'est simplement de passer des paliers. On a des objectifs plus importants que la place où on est (Nice est 10e). Ça va être difficile, on a pris pas mal de retard. Mais il y a aussi une projection sur les mois et la saison à venir.

Un de vos objectifs est-il d'amener le public avec vous ?

Pour moi, c'est prioritaire. Nice sans le public, ce n'est pas possible. J'espère que ça viendra des deux côtés. Nous par les résultats, on sait qu'on peut amener du monde au stade. Mais je sais que la présence des supporters peut nous amener des résultats.

Êtes-vous déçu de ne pas disposer de Terem Moffi pour la rencontre de dimanche ?

Non, je suis assez gêné de parler d'un joueur qui ne fait pas partie de mon effectif. Non, je ne suis pas déçu. Autant je serais vraiment très content s'il nous rejoint, mais je ne peux pas être déçu.
 


Où en est Youcef Atal ?

Il est apte, il s'entraîne. Après, il faut être attentif à un retour progressif.

Que pensez-vous de la situation d'Andy Delort ?

Je suis concentré sur les joueurs présents. Aujourd'hui, Andy (Delort) n'est pas présent (Il s'entraîne à part). Le club, heureusement, est un club fort, qui décidera de l'avenir d'Andy, à partir du moment où il est sous contrat chez nous. Le club est décisionnaire et l'avenir nous dira ce qu'il se passera. S'il doit revenir, il reviendra.

Que pouvez-vous nous dire sur la recrue Youssuf Ndayishimiye ?

C'est un joueur polyvalent. C'est pratique dans un effectif d'avoir un joueur qui peut couvrir plusieurs postes. Il va nous apporter beaucoup de puissance. C'est une belle bête. Il va nous faire du bien dans l'impact, mais il est aussi à l'aise techniquement, avec un bon jeu de tête, une super mentalité.

Quel est son meilleur poste ?

Je l'ai vu axe gauche, axe droit, sentinelle, milieu relayeur. Après, il arrive dans un groupe de qualité, il va continuer à apprendre. C'est un joueur un peu hybride, qui permet de changer la structure de l'équipe d'un système à un autre.

Terem Moffi préfère venir à Nice plutôt qu'à l'OM. Un joueur qui refuse l'OM, c'est un signal fort, ça plaît à un coach ?

Avoir un garçon intelligent, c'est bien.

 

Comment se sont passées vos retrouvailles avec le Losc en début de saison?

Très bien, un retour à la maison où j’ai pu voir les anciens collègues, les gens du staff. C’était très bien et cela va me faire plaisir de les revoir à nouveau. En plus cela ne s'était pas trop mal passé pour moi parce que j'ai réussi à marquer un but qui nous a donné la victoire (1-2). J’espère qu’on va rééditer cela ce week-end.

Vous n’aviez d’ailleurs pas célébré votre but…

C’est normal, c’est mon ancien club, je l’aime beaucoup. C’est normal de ne pas célébrer.

Etes-vous encore en contact avec des joueurs lillois?

Oui, avec Jonathan Bamba notamment. J’ai parlé avec lui il y a deux, trois jours, cela reste un ami. On prend des nouvelles et on parle même au-delà du football. Cela va me faire plaisir de le revoir.

Est-ce que vous avez passé à Lille les deux plus belles saisons de ta carrière?

Oui c’est sûr et c’est même plus que du football. J’habite là-bas, ma famille y est encore, j’y retourne assez souvent, j’ai créé un lien avec cette ville.

Ensuite, il y a ce départ pour Arsenal. Qu’est-ce que vous avez appris de ces trois saisons chez les Gunners?

Mon passage en Angleterre m’a permis d’évoluer. J’ai pris de l'âge, j’ai eu des enfants donc j’ai beaucoup mûri. J’ai connu de très belles expériences comme des moins bonnes. Cela a forgé mon mental et cela me sert aujourd’hui!

Pourquoi avez-vous accepté l’été dernier de baisser votre salaire pour revenir en Ligue 1?

Il y avait beaucoup de projets et j’ai choisi celui de Nice. J’ai pris conscience que le projet financier passait au second plan pour moi. Je suis heureux d’être arrivé ici, c’est un grand club en France et il faut qu’on rende heureux les supporters parce qu’ils le méritent.

Est-ce que le championnat a changé depuis votre départ de Lille?

Oui, niveau tactique et physique, les équipes sont devenues plus fortes. Le niveau me semble plus élevé, il y a beaucoup de bons joueurs. Maintenant aussi je suis un peu plus attendu. Je le ressens sur le terrain avec un marquage plus serré à deux ou trois joueurs. C’est à moi de me sortir de ce genre de situations.

"Digard me donne toute sa confiance"
 
 
 
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Justement, comment jugez-vous ces cinq premiers mois en prêt à Nice?

Des bons mois, au début c’était forcément compliqué parce que j’avais perdu le rythme. J’ai repris confiance en moi en jouant beaucoup de matchs. Mais je me souviens avoir signé et le lendemain ou deux jours après il y avait le match contre Marseille! C’est sur que pour quelqu’un qui ne jouait pas assez souvent, jouer rapidement ça faisait plaisir mais il y a eu la réalité du rythme. Je n’en avais pas trop mais j’étais content de reprendre goût au football.

Vous avez beaucoup joué dans l’axe sur la première partie de saison, depuis le changement d’entraineur vous avez retrouvé l’aile droite, qu’est-ce que cela change pour vous?

Avec l’ancien coach (Lucien Favre) je jouais un peu numéro 10 en électron libre. C’était quelque chose que j’aimais mais cela ne fonctionnait pas tout le temps parce qu’on arrivait pas trop à me trouver. Le nouveau coach (Didier Digard) m’a remis à mon poste de prédilection. Quand tu joues au poste que tu apprécies le plus, tu deviens plus performant, c’est le cas aujourd’hui. Il me donne toute sa confiance.

On retrouve aussi plus d’animation dans votre couloir…

C’est un nouveau système (4-3-3) avec des nouvelles directives qu’on essaie d’appliquer. Chacun sait ce qu’il a à faire et pour l’instant cela fonctionne.

Qu’est-ce qu’il a apporté au groupe depuis son arrivée?

C’est une nouvelle ère et on en avait besoin. Il a bien commencé contre Montpellier avec cette victoire (6-1). Tout le monde savait ce qu'il y avait à faire. Dans l’intensité, la récupération et l’utilisation du ballon c’était carré. On est reparti sur des choses simples pour faciliter les choses pour tout le monde.

"Se replacer car on est encore loin des places européennes"

Depuis l’arrivée de Didier Digard à la tête de l’équipe vous restez sur une victoire contre Montpellier (6-1) et un nul à Reims (0-0). Est-ce que mentalement le groupe se sent mieux?


Ce n'est pas ça selon moi parce qu’avec l’ancien coach aussi on avait fait une grosse série d’invincibilité (7 matchs sans défaite en L1). On était solides mentalement et après il y a eu la défaite en Coupe de France (1-0 au Puy-en-Velay, N1) qui a été difficile. Le nouveau coach s’est justement appuyé là-dessus pour nous aider à rebondir.
 
 


Que doit viser l’OGC Nice sur cette deuxième partie de saison?


Déjà il faut gagner les prochains matchs qui arrivent parce que c’est face à des équipes qui jouent l’Europe. Il faut prendre match après match pour se replacer car on est encore loin des places européennes… Mais la saison n’est pas finie! On sait que quand on fait des séries on peut vite remonter et c’est ce qu’on va essayer de faire.

Il y a aussi l'Europa League Conférence!


C’est sûr que le tableau semble abordable mais il reste quand même des grosses équipes en lice. Pour l’instant on a la chance d’arriver directement en 8e de finale donc on aura le temps de penser à ça plus tard.

Quel conseil donneriez vous au Nicolas Pépé de 18 ans, qui n’a pas fait de centre de formation et jouait le maintien avec Poitiers en National?


De croire en ses rêves! Il ne faut jamais rien lâcher parce que ce n’est pas parce qu’on ne fait pas de centre qu’on peut pas devenir footballeur professionnel.

Et vous avez encore des rêves?

Bien sûr… Ils ne se sont pas encore tous réalisés!

"J’aurai pu faire de l'athlétisme"

Apparemment au collège, quand on vous demandait ce que vous comptiez faire plus tard, vous répondiez footballeur professionnel… C’était votre premier rêve?


Oui parce que je ne faisais que ça! Je jouais tout le temps au foot, avec mes amis, avec mon frère, même avec mon père le dimanche.

Est-ce que vous êtes toujours aussi passionné?

Oui, je regarde tout le temps du football. Même une heure ou deux avant nos rassemblements pour jouer, je regarde des matchs. J’aime vraiment ça! Bon ça fait beaucoup parfois et il faut s’occuper des enfants mais le foot est toujours présent.

Quel autre métier auriez-vous fait si vous n’étiez pas parvenu à devenir joueur professionnel?

Je serai resté dans le sport… J’aurai pu faire de l'athlétisme. J’étais assez endurant quand j’étais un peu plus jeune.

Parce que vous n'êtes plus endurant maintenant?
 
Ah je vieillis (rires)... RMC

 

 

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