Brèves
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A trois journées de la fin du championnat, le sort de l'OGC Nice n'est pas encore fixé. Entretien avec son président, Gilbert Stellardo.
Toujours inquiet pour l'avenir du Gym en Ligue 1 ?
Après avoir battu Arles-Avignon (3-2), on respire. Mais c'est toujours l'angoisse. Le maintien passera par une victoire supplémentaire.
Etes-vous satisfait du travail de vos joueurs cette année ?
Sur l'ensemble de la saison l'équipe ne m'a pas déçu.
Cette fin de championnat est pourtant très difficile pour les Aiglons...
On est passé à côté de trop de matchs. Contre Lille puis Marseille, vu notre prestation sur le terrain, on n'aurait pas dû perdre. Du coup, je sentais la rouste venir. C'est ce qui s'est passé contre Caen [perdu 0-4 à domicile].
Onze de vos joueurs sont en fin de contrat. Comment s'annonce le mercato ?
Nous avons un groupe de 27 joueurs qui devra passer à 22 ou 24. Il nous manque un latéral gauche, un milieu et deux attaquants.
Qui allez-vous vendre ?
On va vendre un ou deux joueurs au maximum. Ospina a un bon de sortie. Concernant Mounier, l'objectif reste de le garder encore un an. Le départ de Lloris de Lyon pourrait nous rapporter environ 1,5 million d'euros.
Où en est le projet de centre d'entraînement ?
A la fin du mois de juin, nous choisirons avec la ville de Nice entre deux projets
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- Écrit par : RTL
François Clerc revient sur la victoire du Gym face à Arles-Avignon et sur la saison de l'OGC Nice. A écouter!
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- Écrit par : Direct Azur
Avant la rencontre face à Arles-Avignon, Direct Azur a posé trois questions à René Marsiglia, l’entraîneur adjoint du Gym.
Quel est l’état d’esprit du groupe ?
Dans les têtes, le point pris à Brest a fait beaucoup de bien. C’est à nous de confirmer ce soir que le match face à Caen était donc un accident. Cela peut arriver, à une seule condition : que le groupe relève la tête très vite. Ça passera par une victoire face à Arles-Avignon.
Votre adversaire n’a gagné qu’un match cette saison…
Attention à cet adversaire ! L’équipe d’Arles-Avignon a connu une saison compliquée, mais aujourd’hui ils jouent sans pression. Ils seront donc dangereux et il faudra se méfier. Il y a des joueurs capables de très bonnes choses. Je suis persuadé qu’ils vont nous poser des problèmes. A nous de répondre présent et de faire le match que l’on attend de nous.
Que représente cette rencontre dans votre lutte pour le maintien ?
La victoire est impérative, c’est sûr. Nous aimerions prendre un peu d’air au classement mais surtout retrouver nos valeurs à domicile. Il en va de notre avenir et de notre fierté. Depuis le derby face à Monaco, nous n’avons plus gagné au Ray. Prendre les trois points serait en plus une chose primordiale dans cette lutte pour le maintien. En temps normal, avec notre total de point à quatre journées de la fin, on serait maintenu. Pas cette année ! Continuons de nous battre et retrouvons nos valeurs, ça va finir par payer.
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- Écrit par : Le Parisien
L' an dernier, après 33 journées, Le Mans (18e) avait 8 points de retard sur Saint-Etienne. Les Sarthois allaient finir par accompagner Boulogne et Grenoble en L 2. Le scénario est bien différent cette saison. Le suspense durera probablement jusqu’au générique de fin avec six équipes regroupées en un tout petit point (de Valenciennes, 13e avec 39 points, à Nancy, 18e avec 38 points). Elles sont aujourd’hui obnubilées par un seul objectif : le maintien. Qui va accompagner Arles-Avignon et, très probablement, Lens ? Etat des lieux.
Valenciennes (13e), Monaco (14e) et Auxerre (15e) concentrés
Plusieurs éléments permettent d’envisager, pour ces trois clubs, un avenir en L 1.Hormis leur classement, qu’ils ne doivent qu’à la différence de buts, ils possèdent tous un calendrier a priori plus favorable que leurs camarades de galère. Seul Monaco devra se frotter à deux Top 5 (le PSG demain, et Lyon le 29 mai) contre un seul pour les deux autres, mais c’est paradoxalement dans cet exercice que l’ASMbrille le plus.Dans le rétro, chacun de ces trois candidats a eu de quoi récemment retrouver de la confiance et engranger de précieux points. Un dernier coup de rein devrait suffire à assurer lemaintien.
Caen (16e) et Nice (17e) angoissés
La demi-finale de Coupe de France perdue face à Lille (2-0) a renvoyé les Niçois dans les cordes. Alors 12es, ils ont concédé, depuis, deux revers de rang qui les ont placés au bord du précipice. Le dernier ? Une sacrée claque à domicile face à Caen (4-0) qui a fait changer la peur de camp. « C’est une grande désillusion. Ce sera plus compliqué désormais. Le maintien se jouera sur tous les matchs », craint Eric Roy, le coach azuréen. Autre souci : Nice est la seule équipe de ce « club des six » à se déplacer à trois reprises. Avant l’opposition entre les deux rivaux, Caen était le « favori » logique pour cette fameuse 18e place. « Il fallait une révolte, une réaction et un résultat. C’est fait », s’est réjoui FranckDumas, l’entraîneur normand. Ses joueurs auront un finish délicat avec notamment l’OL et l’OMsur leur route.
Nancy (18e) très menacé
Depuis l’annonce du départ de Pablo Correa, les Lorrains n’ont plus gagné et ont chuté du 12e au 18e rang. La poisse du relégable leur colle aux basques, comme lors de l’ultime revers face à Sochaux (1-0). «On tape le poteau et on se prend un but en contre », pestait le technicien uruguayen. L’ASNL possède en outre un calendrier coriace avec trois équipes du Top 5 (Lille, Paris, Rennes) et un rival direct (Nice) à affronter. Assurément, l’équipe ayant le plus d’orteils en Ligue 2.
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- Écrit par : Nice Matin
Retrouvez l'entraînement du jour en vidéo... avec l'interview de Ben Saada
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