Un match encore inoffensif pour les aiglons lors de cette rencontre. Une action de chaque côté et puis c'est tout. Ce match entre le second et le troisième du championnat a montré la faiblesse du championnat français. 

Fiche technique

 

Stade Brestois 29 - OGC Nice : 0 - 0
Arbitre : M. Stinat

Avertissements :
Brest : Lees-Melou (44e), Camara (54e), Chardonnet (75e)
Nice : Youssouf (72e)

Les équipes :
Brest : Bizot - Lala, Chardonnet (cap), Brassier, Locko - Lees-Melou, Magnetti, Camara (Martin, 77e) - Del Castillo, Satriano (Camblan, 83e), Pereira Lage (Mounié, 70e)

Nice : Bulka - Todibo, Youssouf, Dante (cap) - Lotomba (Rosier, 64e), Boudaoui, Thuram, Bard (Perraud, 80e) - Sanson (Louchet, 80e) - Laborde (Cho, 64e), Guessand

 

Résumé 

 

 

Comme au match aller, Nice et Brest ont partagé les points ce dimanche (0-0). Le Gym garde trois points d'avance sur son adversaire du jour.

A défaut de gagner, il ne fallait pas perdre, et c'est précisément ce qu'ont réussi à faire Brest et Nice. Au terme d'une rencontre équilibrée mais sans éclat, les deux équipes ont partagé les points (0-0), ce dimanche, pour le compte de la 20ème journée de Ligue 1. Un résultat logique qui devrait satisfaire le Gym, toujours 2ème, mais aussi le SB29, 3ème avec trois unités de moins que son adversaire du soir.


Peu d'occasions à Brest


Battu lors de ses trois derniers déplacements en championnat, le Gym pouvait-il éviter un nouveau revers ? Le début de match des visiteurs allait en tout cas dans ce sens. Dans le sillage d'un Morgan Sanson très actif, les Aiglons affichaient un visage conquérant et passaient même proches de l'ouverture du score sur une énorme occasion pour Evann Guessand, qui perdait son duel avec Marco Bizot (9ème). Une grosse opportunité qui réveillait les Brestois.

Après un départ poussif dans ce choc du haut du tableau, le SB29 prenait peu à peu les commandes de la partie. Beaucoup plus agressifs et justes dans l'entrejeu, les Bretons gagnaient progressivement du terrain et faisaient trembler Marcin Bulka, décisif sur une demi-volée puissante de Hugo Magnetti mais surtout très heureux de voir Martin Satriano manquer le cadre sur sa reprise dans la foulée (37ème). Un gros raté que pouvait regretter l'Uruguayen.

Un nul logique


Au retour des vestiaires, les équipes repartaient sur le même rythme. Comme en première période, Evann Guessand était le premier à se montrer dangereux avec une tête trop molle pour inquiéter Marco Bizot (55ème). En face, Martin Satriano répondait avec une tête plongeante qui ne trouvait pas le cadre (64ème). Les deux seules occasions nettes d'un match disputé mais durant lequel aucune des deux équipes n'est parvenue à faire la différence.

 

Avec ce nul plus que logique, Nice mettait un terme à sa mauvaise série à l'extérieur et renforçait sa 2ème place avec désormais huit unités de moins que le leader, le Paris Saint-Germain. De son côté, Brest récupérait sa troisième place au classement, toujours avec trois longueurs de moins que son adversaire du soir et une de plus que Lille et Monaco. De quoi satisfaire Francesco Farioli mais également Éric Roy. orange.

 

Le résumé vidéo

 

Réactions 

 Jean-Clair Todibo:

C’est un match que les deux équipes auraient mérité de gagner. Il y a eu des temps forts des deux côtés, des temps faibles plutôt bien gérés. Malheureusement pour nous, on a manqué de réussite, surtout en début de match. Au final, c’est un résultat logique. C’est une équipe assez athlétique offensivement. Ils jouent long avec des attaquants qui ont des qualités de déviation énorme, ils ont joué sur leurs forces. On a arraché un point ici, c’est une chose dont on doit se satisfaire.

 

Romain Del Castillo:

Je pense que tout le monde a pris du plaisir. Bien sûr, on aurait aimé l’emporter, il n’y a rien de mieux que de gagner des matchs. Mais on a été solide derrière tout en se procurant des occasions. Ils ont un jeu très tactique, ils sont solides derrière, c’est très difficile de leur mettre des buts. On a réussi à se procurer des occasions, maintenant il fallait les mettre au fond. Quand on n’arrive pas à gagner, il faut savoir ne pas perdre

 

Revue de presse 

 

 

 

 

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