Brèves
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- Écrit par : L'Equipe
OSPINA (8) : impuissant sur le but. Triplement bon à la 68e minute au sol, dans les airs et sur sa ligne face à la menace Obraniak.
D. DIAKITÉ (3) : le but est arrivé par son côté un peu poreux. Souvent en retard et peu inspiré.
APAM(4) : malmené par la vivacité de Frau au départ, il a rarement été serein ensuite.
KANTÉ (5) : des preuves de solidité et des signes de fragilité.
ROOL (4) : le souffle court. N’a pas pu être vaillant. FAÉ (4) : de la maladresse et un impact comprimé.
JEUNECHAMP (non noté) : dominé par Cabaye et victime de coups, il a cédé sa place à ECHOUAFNI (37e) (note : 5), qui s’est évertué à jouer proprement.
HELLEBUYCK (4) : l’ombre du Hellebuyck normal, avec des passes trop souvent rendues à l’adversaire. Remplacé par MODESTE (58e), pas génial.
BAMOGO (6) : le seul Niçois à avoir eu un peu de réussite. À son actif, le seul tir cadré azuréen dumatch (72e).
MOULOUNGUI (4) : globalement anesthésié.
BEN SAADA (4) : souvent éclaboussé dans les duels, n’a pu vraiment exister sur ce terrain. Remplacé par K. COULIBALY (58e).
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- Écrit par : ogcnice.info
Frédéric Antonetti a été désigné troisième entraîneur français de l'année par le jury réuni par France Football composé de ses pairs.
LE CLASSEMENT 2008
1. Arsène Wenger (Arsenal), 73 points
2. Laurent Blanc (Bordeaux), 62 pts
3. Frédéric Antonetti (Nice), 56 pts
Claude Puel (Lille puis Lyon), 56 pts
5. Alain Perrin (Lyon puis Saint-Etienne), 45 pts
6. Rudi Garcia (Le Mans puis Lille), 23 pts
7. Guy Lacombe (Rennes), 16 pts
8. Christian Gourcuff (Lorient), 7 pts
9. Franck Dumas (Caen), 6 pts
Philippe Montanier (Boulogne-sur-Mer), 6 pts
Denis Renaud (Carquefou), 6 pts
12. Mecha Bazdarevic (Grenoble), 5 pts
13. Stéphane Le Mignan (Vannes), 4 pts
Pablo Correa (Nancy) et Jean-Marc Nobilo (Le Havre) qui figuraient dans la liste des 15 nommés n'ont obtenu aucun point.
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- Écrit par : L'Equipe
Retrouvez la vidéo de l'avant match de la rencontre Nice - Lille!
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- Écrit par : AFP
L'OGC Nice (L1) s'est doté vendredi d'une bâche de protection qui sera déployée dès samedi matin sur la pelouse du Ray où l'on annonce de nouvelles pluies importantes durant le week-end, a-t-on appris, vendredi auprès d'André Bloch, le directeur en charge au club azuréen de l'organisation et la sécurité des matches. Le 29 novembre, pour la première fois depuis le retour de Nice dans l'élite (2002), un match avait été reporté pour cause d'intempéries. Le Nice-Grenoble comptant pour la 16e journée a fini par se jouer le 10 décembre. "La bâche n'aurait rien changé, l'orage ayant éclaté deux heures avant le coup d'envoi" a expliqué André Bloch. "Mais les clubs ont obligation de prendre les précautions nécessaires pour faire face dans la mesure du possible aux caprices de la météo. Le problème ne s'était jamais posé jusqu'alors sur la Côte d'Azur. Le non déroulement d'une rencontre de L1 peut être sanctionné par la Ligue d'une amende comprise entre 20.000 et 50.000 euros. Dans le rapport transmis à la Ligue de football professionnel (LFP), nous avons détaillé toutes les mesures mises en oeuvre en vain, fin novembre, pour que la rencontre Nice-Grenoble puisse se dérouler", a-t-il encore précisé. Face aux nouvelles importantes pluies prévues pour le week-end par la météo, le club azuréen a préféré se mettre à l'abri en faisant l'acquisition pour 50.000 euros d'une bâche auprès de la société grenobloise ayant déjà équipé Lyon et Saint-Etienne. La pose de cet équipement composé de onze lés de dix mètres de large s'effectue en une heure.
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- Écrit par : AFP
Frédéric Antonetti, comment analysez-vous le match nul réalisé par Nice devant Grenoble ?
Grenoble s'est mieux adapté que nous au terrain détrempé. On n'a pas su trouver des solutions dans le bloc adverse et le contenir. Cela aurait pu se faire sur coup de pied arrêté. Le résultat est assez logique. On aurait même pu perdre. Quand on a poussé en seconde période, notre adversaire a eu des contres. Contrairement à certains commentaires entendus ici et là, Grenoble est très expérimenté avec des vieux briscards comme Jemmali, Flachez ou Moreira. Ils ont laissé peu d'espace dans leur dos. Il nous a manqué un peu d'inventivité et de fraîcheur. On avait laissé beaucoup de force mentale au Vélodrome.
Les conditions très difficiles de jeu sur un terrain détrempé et glissant expliquent-elles la petite prestation de Nice ?
Elles facilitaient plus la défense que l'attaque. Mais le responsable, c'est moi. Le déchet technique m'incombe. Sur ce type de terrain, il nous fallait jouer contre nature. Cela imposait d'allonger les passes et d'être très présents au deuxième ballon. Le fait est que nous n'avons pas été très performants dans l'exercice. Nous n'avons pas trouvé la solution. Y serait-on arrivé sans la pluie ? Je n'en sais rien.
Nice a laissé passer l'occasion lors de ce match de reprendre position sur le podium, est-ce un coup d'arrêt ?
Non! On aurait aimé écraser Grenoble 1 à 0, nous n'y sommes pas parvenus. C'est surtout une déception d'avoir fait un 0-0 chez nous au Ray. Je ne regarde pas le classement. Il n'a aucune valeur avant la 38e journée. Disons que cela permet un coup de pub sur le club. Nous allons essayer de faire aussi bien que l'année passée à la trêve, soigner l'écart sur le premier non relégable et essayer de rester dans le bon wagon. Il reste deux matches à jouer, dimanche face à Lille, qui est plus armé offensivement que Grenoble, puis à Toulouse. Nous allons essayer de faire le mieux possible. Déjà récupérons.
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