[Résumé, réactions, Revue de Presse] Nantes - Nice (2-0) Abonnés absents!

Plus l'OGC Nice avance dans ce championnat plus cette équipe nous prend pour des cons et l'autre abr..i de président qui ose encore nous mettre des matches à des prix de Gala... Aucun respect!

 

 

 

 

Fiche technique

 

A Nantes (Stade de la Beaujoire): Nantes bat Nice 2 à 0 (1-0)

 

Terrain: bon

 

Temps: doux

 

Eclairage: bon

 

Spectateurs: 21.040

 

Arbitre: S. Lannoy

 

Buts:

 

Nantes: Bekamenga (19), Bagayoko (90)

 

Avertissements:

 

Nantes: Maréval (50), Bagayoko (67), Vainqueur (86)

 

Nice: Apam (27), Cid (42), Kanté (84)

 

Exclusion:

 

Nice: Cid (55, 2e avertissement)

 

Les équipes:

 

Nantes: Ndy Assembé - Tall, Pierre, Ndaw, Maréval - Da Rocha (cap), Vainqueur - Bagayoko, De Freitas, A. Capoue (Abdoun 79) - Bekamenga (Rodelin 90+2)

 

Entraîneur: Elie Baup

 

Nice: Ospina - K. Coulibaly, Apam, Kanté, Cid - Faé, Echouafni (cap) (Sablé 62), Hellebuyck - Bamogo (D. Diakite 58), Adeilson (Mah. Traoré 37), Rémy

 

Entraîneur: Frédéric Antonetti

 

 

Résumé

 

Nantes renaît par Sport24.com

 

Archi-dominateur, Nantes a logiquement pris le dessus sur une pâle équipe de Nice samedi soir (1-0). Une victoire primordiale qui permet aux Canaris de sortir de la zone rouge.

 

Neuf matches sans victoire, dont trois défaites consécutives sans le moindre but inscrit, le bilan du FC Nantes était proche du néant au moment de recevoir Nice. 18es et premiers relégables au classement, les Canaris devaient absolument se relancer face à une formation azuréenne quasiment déjà en vacances après avoir stoppé l’hémorragie contre Lorient la semaine passée (2-0). Mais en avaient-ils seulement les moyens ?

 

Bekamenga comme Fernandez

 

A priori… oui. A peine le coup d’envoi donné que Capoue avait déjà trouvé le poteau sur un service en or de Bagayoko ! Hellebuyck avait beau réagir dans la foulée d’un tir plein axe (3e), il n’y avait bien qu’une équipe sur le terrain. Plus mordant dans les duels, plus vifs dans le mouvement, bref, meilleurs que les visiteurs, les Nantais multipliaient les offensives. Et si Ospina retardait l’échéance sur un coup de canon de Vainqueur (13e), puis sur une tête croisée de Da Rocha sur corner (14e), il ne pouvait pas grand-chose quand, servi par Maréval, Bekamenga venait le fusiller d’un ciseau à la Luis Fernandez (1-0, 19e). Bien qu’entaché d’une position de hors-jeu, ce but était on ne peut plus mérité pour la bande à Elie Baup. Car Nice, n’y était toujours pas, à l’image de cette sortie ratée par Ospina, pourtant l’un des rares à surnager jusque-là, qui manquait de profiter à Bagayoko (40e). Fou de rage sur son banc, Antonetti tranchait finalement dans le vif en sortant Adeilson pour Traoré juste avant la mi-temps (37e). En vain.

 

Cid voit rouge

 

Car après la pause, le scénario n’évoluait guère. Au contraire. Toujours autant sous pression, les Aiglons commettaient de plus en plus de fautes. Et la sanction ne tardait pas à tomber. Déjà averti en première période pour une charge dangereuse sur Bagayoko, Cid descendait de nouveau le Malien et écopait logiquement d’un carton rouge (56e). Déjà en difficultés à 11 contre 11, le Gym allait donc devoir finir à 10 ! Mais paradoxalement, cette infériorité numérique avait le don de rééquilibrer un poil les débats. Toujours à l’affût de la moindre occasion, Rémy en profitait pour tenter un geste fou du milieu de terrain, mais le contrôle tutoyait la perfection, la finition, elle, laissait à désirer (61e). Peut-être usés par les énormes efforts entrepris depuis l’entame, les Canaris, eux, ne parvenaient plus à déployer leurs ailes. De Freitas, coup sur coup (64e et 65e), puis Bagayoko (83e), tentaient bien d’assurer définitivement la victoire, leurs gestes manquaient singulièrement de puissance pour espérer se montrer décisif. Et à force de pousser timidement sans marquer, le doute commençait à envahir les esprits nantais….Mais comme une récompense, c’est finalement Bakayoko, héroïque tout au long du match, qui venait tuer le suspense au terme d’un une-deux d’école entre Maréval et Bekamenga (2-0, 90e). Largement suffisant pour mettre fin à quatre mois de disette à La Beaujoire et pour sortir de la zone des rélégables !

 

 

Revue de presse

 

Un ressort s’est cassé au Gym, le 4 février, lorsque Vannes est venu s’imposer en demi-finales de la Coupe de la Ligue au Stade du Ray (1-1, 3-4 aux t.a.b.). Depuis, les Aiglons font souvent dans l’insipide. Ce fut le cas, à Nantes. Heureusement, Frédéric Antonetti déteste Élie Baup et il le montre en refusant de lui serrer la main lors du protocole d’avant-match. Si les deux entraîneurs avaient été amis, la thèse du match arrangé aurait circulé, car l’investissement des Niçois a été plus que limite. Excédé par le laxisme de ses ouailles, Antonetti a d’ailleurs effectué un changement avant la mi-temps, sans qu’il provoque le moindre relief sur l’électroencéphalogramme azuréen.

Nantes n'en demandait pas tant par l'Equipe

 

Les Niçois avaient devant eux deux rencontres essentielles pour le maintien de leurs adversaires : Nantes, hier soir à la Beaujoire, avant Saint-Etienne, dimanche prochain au Ray.

Des niçois transparents par Nice Matin

 

Le FC Nantes a retrouvé le chemin de la victoire après une série de neuf matchs sans victoire. Dans un bon soir, les Canaris ont aussi profité de l'apathie d'une équipe de Nice déjà en vacances. Les Jaune et Vert sortent de la zone rouge.

Les canaris retrouvent leurs ailes par Football 365

 

La course au maintien connaît un nouveau rebondissement avec le succès de Nantes devant Nice (2-0), ce qui permet aux Canaris de sortir de la zone rouge. Dans la première partie de tableau, Toulouse s'incline à Grenoble et lâche prise.

Les canris se remplument par le 10 Sport

 

Nantes est sorti de la zone de relégation grâce sa nette victoire à domicile 2 à 0 contre Nice samedi à l'occasion de la 32e journée de Ligue 1, la première à La Beaujoire depuis début décembre contre Lyon (2-1).

Nantes sort de la zone rouge

 

 

Réactions

 

Frédéric Antonetti :

 

Je ne répondrai pas aux questions, je vais simplement dire que Nantes méritait sa victoire, quant à la prestation de mon équipe il y a des soirs où il vaut mieux se taire...

 

David Hellebuyck :

 

C'est catastrophique. Le match que nous avons sorti ce soir est impardonnable. Il va falloir remettre les pendules à l'heure avant la prochaine rencontre. Moi, j'ai essayé de faire le maximum mais il y a des soirs où rien ne marche. Au niveau de l'état d'esprit on n'y était pas. Dans les duels on a été bouffé. Tu te dis alors que les six dernières rencontres du Championnat vont être bien longues. On ne peut pas finir comme ça. Le coach était dépité par notre prestation, je le comprends, mais tous les joueurs savent qu'ils ont été bidons.

 

Frédéric Da Rocha:

 

Il y a eu du coeur, de la volonté, de la technique, à l'image du deuxième but de Bagayoko. Cette fois on est resté concentré. Ce qui fait la différence, c'est l'équipe. On ne peut pas dire qu'un joueur soit sorti du lot mais, comme je l'ai dit à mes coéquipiers en rentrant aux vestiaires, quand ça bouge c'est plus simple de faire du jeu. On est tous très content. Il reste six matches, il faut prendre un maximum de points à commencer lors du déplacement à Nancy. J'avais déjà vu un signe encourageant face à Toulouse, là on s'est procuré plus d'occasions.

 

Elie Baup :

 

On avait besoin de prendre des points, de marquer des buts. Ce soir il ne fallait surtout pas changer notre fusil d'épaule même si l'entame du match ne nous est pas favorable, puisque la tête d'Aurélien Capoue est renvoyée par le poteau. Heureusement il y a eu ce premier but et le deuxième

 

Mamadou Bagayoko :

 

On avait vraiment envie de faire quelque chose. On l'a prouvé. On sait qu'on a une bonne équipe et des joueurs de qualité. On a su redresser la tête et ça va faire du bien pour tout le groupe, tous les supporters et tous ceux qui aiment ce club. Malgré ce qu'on peut entendre, on sait qu'on a une bonne équipe.  Des matchs arrivent. On sait que ça sera très difficile. Mais j'espère qu'on va en gagner beaucoup pour se maintenir. Le maintien est encore loin, mais çà va nous donner une bouffée d'oxygène.