Brèves
- Détails
- Écrit par : Direct Nice
- Affichages : 2547
A 48 heures des 32es de finale de la Coupe de France face à Plabennec dans le Finistère, le coach des Aiglons dresse le bilan des matchs allers et fixe le cap pour 2010.
Quel bilan tirez-vous de cette première partie de saison ?
On a eu un parcours en dents de scie: une bonne entame avec un grand trou d’air puis une très bonne série et une fin en queue de poisson après l’échec de Marseille à domicile (1-3). Il est évident que le bilan est nettement insuffisant pour tout le monde.
Comment expliquez-vous ce faible rendement ?
Sur un total de vingt-cinq joueurs, on ne peut vraiment compter que sur treize ou quatorze compétiteurs, et dès qu’il nous manque deux ou trois éléments de ce noyau dur, tout devient alors très compliqué pour être régulier. L’équilibre est toujours fragile.
Etes-vous inquiet ?
Quand ça ne tourne pas, on est toujours inquiet. Mais je suis surtout déçu et passablement énervé du manque d’engagement et d’implication d’une partie des joueurs qui ont montré leurs limites dans la continuité. Je ne cesse de leur marteler qu’ils sont des privilégiés par rapport à la masse et qu’ils n’ont pas le droit de ne pas tout donner. Ceux-là mériteraient d’être sanctionnés, à moins qu’il ne s’agisse d’une erreur de casting au niveau professionnel…
Avec la CAN (Coupe d’Afrique des nations), vous allez perdre la bagatelle de neuf joueurs. Un véritable casse-tête ?
Quand je lis dans la presse que certains entraîneurs français s’inquiètent de devoir se passer de deux ou trois joueurs, je me dis: « A Nice, il faut être magicien pour s’en sortir avec un effectif amputé de 50 % de ses forces. » En janvier, je n’aurai d’autre choix que d’aligner une équipe bis et très moyenne. Cela devient très compliqué !
Quelles sont les conséquences ?
Cette situation, des joueurs talentueux comme Mounier ou Rémy la vivent forcément mal sur le plan psychologique, car ils ont un besoin impérieux de s’appuyer sur un effectif solide et performant pour donner le maximum de leur potentiel.
Dans ce contexte, le mercato arrive à point nommé pour recruter. A ce propos, Civelli et Digard sont-ils vos priorités ?
Ce sont des joueurs très intéressants que je suis depuis juin dernier. Ils veulent venir à Nice. Ils sont français, connaissent notre championnat et possèdent des qualités de guerrier. J’espère qu’ils vont signer. Faute de moyens, nous devons recruter malin.
Peut-on s’attendre à d’autres mouvements lors de ce marché des transferts ?
Nous voulons garder nos joueurs cadres. Or, si certains ont besoin de temps de jeu comme Bamogo ou Quartey, nous étudierons toutes les possibilités pour les libérer dans les meilleures conditions.
Que peut-on espérer pour les Aiglons en 2010 ?
La plupart des joueurs sont conscients qu’il faut se battre. A un moment donné, ils ont su enchaîner les bons résultats avec cet état d’esprit. Les cadres doivent encore élever leur niveau. On essaiera d’accrocher la meilleure place pour gagner la bataille du maintien.
- Détails
- Écrit par : ogcnice.info
- Affichages : 2623
Ismaël Gace, le latéral gauche de Nice, a été victime à l'entraînement d'une entorse à la cheville gauche qui va l'éloigner des terrains pendant trois semaines. Encore une bonne nouvelle!
- Détails
- Écrit par : AFP
- Affichages : 3863
L'ex-président de l'OGC Nice, Maurice Cohen, a cédé lundi les actions qu'il détenait dans le club aux autres actionnaires, a-t-on appris mardi auprès de Gilbert Stellardo, président du directoire et co-actionnaire majoritaire. Cohen, qui avait quitté en septembre le poste de président salarié du club en raison d'un désaccord sur la réorganisation de la société, a cédé la totalité de ses actions, soit 5% du capital de la SASP OGC Nice.
Gilbert Stellardo n'a pas révélé le montant de la transaction mais a confirmé que l'opération s'était réalisée à des conditions plus avantageuses pour Maurice Cohen qu'elles ne l'avaient été pour Franck Giudicelli, ancien administrateur de l'OGC Nice qui avait revendu 27% du capital en mai 2008 pour une somme estimée à 2 millions d'euros. Selon des sources proches du dossier, la cession des parts de l'ex-président tournerait autour de 600.000 euros.
Maurice Cohen, 54 ans, a quitté en septembre la présidence de l'OGC Nice où il avait été porté à l'été 2002 par ses collègues toujours en place dans la direction du club. L'homme d'affaires niçois estime avoir été poussé vers la sortie par la scission du conseil d'administration en deux entités, un directoire et un conseil de surveillance présidés par les deux actionnaires majoritaires, Gilbert Stellardo et Marcel Governatori. Il avait depuis cherché en vain à nouer des contacts avec d'éventuels candidats à la reprise du club. Fin décembre, M. Cohen, ancien membre du Conseil économique et social monégasque, a racheté "L'Observateur de Monaco", magazine mensuel d'actualité sur la principauté tiré à 2000 exemplaires
- Détails
- Écrit par : RMC
- Affichages : 2993
Alors que Nice est le club le plus touché par la CAN avec huit départs, le président de l’OGCN, Gilbert Stellardo, a directement remis en cause l’ancienne direction et notamment l’ancien directeur sportif, Roger Ricort. Invité de Luis Attaque, Stellardo le fait savoir haut et fort.
Gilbert Stellardo, Nice risque de particulièrement souffrir avec la CAN et le départ de nombreux joueurs…
On a neuf joueurs de partis (ndlr : en fait huit : Onyekachi Apam, Emerse Fae, Eric Mouloungui, Mahamane Traore, Mamadou Bagayoko, Chaouki Ben Saada, Habib Bamogo, Mickaël Pote). Il est certain que c’est une erreur de recrutement faite il y a deux et trois ans. On savait qu’ils allaient nous manquer. L’erreur a été faite par Roger Ricort. On savait que ça poserait des soucis en début de saison, mais les joueurs avaient leur contrat. Il n’y a avait pas beaucoup de marge de manœuvre.
Remettez-vous en cause la gestion précédente ?
C’était une faute tactique. Le recrutement et l’entraîneur savaient que ces joueurs partiraient. Je crois même que ledépart des deux techniciens (ndlr : Cohen et Ricort) a été motivé par ça.
C’est-à-dire ?
Je pense qu’ils en ont eu conscience. Je ne dis pas qu’ils ont saboté le club, mais qu’ils ont fait une erreur. Quand ils s’en sont rendu compte, ils sont partis volontairement.
« Il fallait vendre Rémy en juin »
Nice a-t-il des problèmes de budget ?
Nous avons un problème de trésorerie, c’est clair. L’année dernière, il y a eu des erreurs techniques et économiques. Rémy est un grand joueur, mais on n’avait pas les moyens de le garder. Il fallait le vendre en juin. Je le regrette économiquement puisque ce transfert aurait mieux équilibré l’équipe.
Il n’a pourtant pas démérité…
Je ne dis pas qu’il a démérité. Au contraire. Mais je pense qu’il avait besoin de support de meilleure qualité. On est dans une situation de trésorerie difficile alors qu’on aurait pu anticiper.
Ça aurait pu signifier un manque d’ambition…
Tant que le stade n’est pas là, Nice n’a pas les moyens de garder une seule vedette. On doit construire une équipe cohérente. On doit vendre cinq ou six joueurs pour équilibrer le budget. Tant qu’on n’a pas le stade et une recette supplémentaire de 8 ou 9 M€, on devra vendre.
- Détails
- Écrit par : ogcnice.info
- Affichages : 2895
Stade Pourcin, Fréjus St Raphaël - OGC Nice : 1 - 1 (0-1)
Buts :
Fréjus : Malfleury (84è)
Nice : Quansah (36è)
Les équipes :
Fréjus St Raphaël : Gibert - Bossy (c), Ndzana, Barrau, Faure - Mlybohy, Ramos, Noyer, Delaplace - Dutil, Vareilles
Nice : Ospina (Moreau, 46è) - Diakité (Adu, 75è), Paisley, Cid, Gace - Coulibaly (Berthomier, 85è), Sablé (c), Quansah (Van Hulst, 85è), Mounier (Jaubert, 85è) - Nyuiadzi (Gagnon (65è), Rémy




