Presse
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
NICE peut continuer à y croire. Sa volonté de retrouver le Stade de France, trois ans après la finale de Coupe de la Ligue perdue face à Nancy (1-2), est toujours en passe de se réaliser. Les Aiglons ont franchi un obstacle supplémentaire en se débarrassant hier du Havre et en se qualifiant pour les demi-finales de l’épreuve, programmées début février. Présenté comme ça, il n’y a rien de surprenant. Les Azuréens forment l’une des bonnes équipes de L 1 et ils recevaient la lanterne rouge du Championnat. La logique a donc été parfaitement respectée.
- Détails
- Écrit par : L'equipe
Le traumatisme n’existe plus mais il a été long à se dissiper. Battus (1-2) par Nancy en finale de la Coupe de la Ligue 2006, les Niçois ont eu beaucoup de mal à s’en remettre. Frédéric Antonetti, Cyril Rool et Olivier Echouafni, les seuls à être toujours au club, s’en souviennent encore. « D’habitude, raconte l’entraîneur, une défaite me prend la tête vingt-quatre heures. En général, le lendemain ça repart. Là, il m’a fallu près de deux semaines pour m’en remettre. Ça reste un de mes pires souvenirs d’entraîneur. » Echouafni a vécu la défaite de la même façon. « À trente trois ans, c’était ma première finale. Ce fut une frustration totale. »
- Détails
- Écrit par : L'equipe
EN 2008, Nice a accentué sa crédibilité en L 1. Car, en attendant de pouvoir monter davantage en considération sur fond de conditions d’entraînement plus douillettes (à priori en 2010-2011) et d’un grand stade en germe depuis un demi-siècle (probablement en 2013), cette année écoulée a tout de même été bien remplie pour un club qui a dégagé au 30 juin 2008 un résultat net positif de près de 5M€ en ayant empoché près de 23,7 M€ de droits télé la saison passée.
- Détails
- Écrit par : ogcnice.info
Frédéric Antonetti n’en finit plus de se plaindre du calendrier des matches du mois de janvier. A juste titre, d’ailleurs.
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
Frédéric Antonetti, l’entraîneur de Nice, ne cache pas tout le bien qu’il pense d’un calendrier « aberrant et illogique » remettant au boulot les footballeurs entre les deux réveillons, ni sa hiérarchisation des compétitions.
- Détails
- Écrit par : ogcnice
Il est le meilleur aiglon depuis le début de saison pour vous ( + 1/3 des votants), mais pas uniquement pour vous. Il suffit de se souvenir de ce que disait Frédéric Antonetti il y a quelques semaines : " Il a le niveau Ligue des champions. Je serais à Lyon, je l’aurais recruté l’été dernier. Il aurait dû être champion du monde 98 et champion d’Europe 2000." A cela, le défenseur niçois répond : " Je suis peut-être passé à côté de quelque chose de grand. Mais il y avait du monde devant, comme Lizarazu. Et puis, ma réputation m’a desservi. Quand j’ai quelque chose à dire, je le dis. Si on veut un mouton, il ne faut pas me prendre. Cela dit, je suis très content de ma carrière."
- Détails
- Écrit par : ogcnice.info
Les niçois pointent à la seconde place après leur victoire face à St Etienne et un nouveau but important d’Echouafni (après celui de Lorient). Des aiglons qui n’avaient pas été à pareille fête depuis leur remontée en L1 et Gernot Rohr.
- Détails
- Écrit par : Sport24.com
Malgré un petit passage à vide en fin d’année, Nice n’a pas à rougir de sa première moitié de saison. Loin de là. En embuscade derrière les pointures du championnat, les Aiglons peuvent plus que jamais rêver d’Europe.
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
Après une première moitié de saison convaincante qui l’a vu s’installer un moment à la deuxième place du classement en dauphin de Lyon, Nice ne voulait surtout pas terminer l’année sur une mauvaise note. Le Gym tenait à réagir après trois matches contre l’OM, Grenoble et Lille où il n’avait pris qu’un point sur neuf. C’est peut-être ce qui a permis aux Aiglons de trouver les ressources pour égaliser au boutdu temps additionnel grâce à un superbe coup de tête de Vincent Hognon. « C’est un point acquis avec les tripes », explique Habib Bamogo. « Sur ce coup-là, on a démontré qu’on avait de grosses ressources mentales », ajoute Olivier Echouafni.
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
« Il est temps de se remettre en question, de changer d’état d’esprit et de revenir aux valeurs essentielles, celles qui nous ont permis d’obtenir des résultats. En ce moment, on ne fait pas assez d’efforts, moi le premier. Contre Lille (0-1), je n’ai pas été à la hauteur et ma prestation a été catastrophique. Il faut qu’on retrouve cette détermination collective qui nous caractérisait et faisait la différence. » Cette analyse sans concession émane de David Hellebuyck. Elle prend d’autant plus de poids que l’ancien Stéphanois n’a pas pour habitude de se répandre.