saison 2008/2009
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On saura peut être ce soir qui du Mans (14e) ou de Nice (8e) est le plus vulnérable du moment, sachant qu’un match nul serait déjà réconfortant pour les deux formations. À chacune ses soucis. La semaine passée, un Nice stressé alaissé filer contre Vannes (L 2) (1-1, 3-4 aux t.a.b.) une deuxième finale de Coupe de la Ligue en trois ans. Un K.O. « navrant » (Bamogo), « une tache dans une carrière » (Antonetti). Noté 5/20 par son entraîneur à Monaco en Coupe de France (0-1, 16es de finale), Nice a aussi calé en Championnat. Deuxième sur les quinze premières journées, il est seulement 17e sur les huit dernières, avec cinq points et un match en moins à livrer mardi à Nancy (20e j.). « Malgré tout, on est toujours huitièmes, alors qu’on est en année de reconstruction, note Bamogo. Maintenant, il nous faut sortir au plus vite de cette mini-crise, qu’on se rapproche des 42 points. » Mais comment Nice a-t-il soudain déraillé ?
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« On veut L'Europe, on veut l’Europe ! » entendait-on s’élever des tribunes du Ray lors de la demi-finale de la Coupe de la Ligue Nice-Vannes, mercredi dernier (1-1 a.p., 3-4 aux t.a.b.). Mais l’équipe de L 2 a invalidé la commande. Derrière, Nice était trop meurtri pour résisterà Lyon et éviterun deuxième revers de suite en Championnat (1-3) après celui concédé chez le relégable Valenciennes (0-1).
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De l'avis-même de son auteur, la causerie de Frédéric Antonetti à la pause a été « musclée ». « On a entamé le match à l’envers dans la première demi-heure, se justifiait-il. Contre Lyon, je ne pense pas qu’il fallait faire tourner le ballon derrière. Quand on s’en est aperçus, le mal était fait, il y avait 2-0. » Malmené techniquement, Nice s’était aussi fait sacrément secouer dans les duels. « Il faut être au summum de sa confiance et de son physique contre Lyon, et les deux étaient entamés après Vannes », relevait l’entraîneur niçois.
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Après la glissade sur la peau de banane vannetaise, mercredi soir en demi-finales de la Coupe de la Ligue (1-1 a.p., 3-4 aux t.a.b.), Hellebuyck et sa femme ont été invectivés par des supporters, tout comme Mouloungui ou Bamogo. « Les premiers déçus, ce sont nous », certifie Rool. Après avoir mal négocié Nancy en 2006 en finale de la même épreuve (1-2), Nice a donc été rabaissé par une vaillante petite équipe de L 2, au budget près de cinq fois inférieur au sien, au bord du Stade de France.
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Une finale s’est évaporée. Cédric Kanté est triste. « Il aurait fallu plus qu’un match sérieux pour mériter de passer, relevait le défenseur francomalien à la sortie des vestiaires. On rate le match le plus important de l’année. Les Vannetais ont été très bons, il fallait nécessairement un Nice plus fort, transcendé. On est revenus miraculeusement à 1-1. Il nous manquait cet esprit Coupe. »